Toutdans l'ordre, il aimerait bien que je sois entreprenante, je ne peux pas, je suis tétanisée, c'est pas grave, la aussi il va m'aider, mais il en a marre de faire tout le boulot, c'est pas croyable ce que je peux être empotée. C'est quand même pas compliqué, d'abord je le suce, non ! face au miroir, il veux voir, ensuite je me couche, d'abord pénétration Harry Potter 2005 ~¤~ Pré-au-Lard ~¤~ Rues de Pré-au-LardAshton ParkerLégendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Dim 24 Juin - 1928 Le charme d'Ashton fit comme prévu son effet très rapidement. S'il était du genre à se vanter il aurait pu dire qu'au fil du temps cela devenait lassant et qu'il aurait parfois préféré avoir un peu de challenge, mais ce serait mentir et il n'était pas un menteur. Le sorcier appréciait volontiers les facilités que la vie lui avait accordé au niveau de la séduction entre autre. C'était probablement grâce à cela qu'il avait pu répandre aussi facilement ses gènes. En même temps ce n'était que justice qu'il possède quelques qualités élémentaires pour contrebalancer son passé sombre et mystérieux. Ce n'était pas facile tous les jours d'avoir perdu toute sa famille dans un incident tragique comme cela avait été son cas. Heureusement que l'une de ses sœurs avait survécu, même si elle était actuellement encore dans le coma en attendant d'être réanimée pour des besoins narratifs. S'il y avait bien une chose qu'on ne pouvait pas reprocher à Ashton c'était d'avoir su aller de l'avant malgré les difficultés. Cette capacité, il la devait probablement à son QI de 287 qui lui avait permis d'obtenir ses ASPICs sans mal alors qu'il avait manqué la moitié de sa dernière année à Poudlard. Mais revenons-en à nos Prépare-toi à passer la meilleure nuit de ta s'était approchée et venait à présent de s'installer à califourchon sur ses jambes. C'était une situation qui convenait plutôt très bien à l'ex-Gryffondor même s'il ne s'attendait pas à ce que son regard charmeur fonctionne de manière aussi efficace. Le sang-mêlé trouvait cela un peu louche la rapidité avec laquelle la jeune femme avait décidé qu'il n'était pas un danger mais elle avait beaucoup de charme et il n'allait pas s'en plaindre. Naturellement, Ashton se rapprocha d'elle avant de l'embrasser comme elle n'avait jamais été embrassée. De rien, c'était un cadeau de sa part. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Jeu 28 Juin - 1313 Alors j'étais à l'aise sur ces jambes, de toute façon nuls doutes que si il était un danger, il me faudrait moins de trois secondes pour le plaquer au sol et le livrer aux autorités mangemorts, parce qu'ils étaient tous mes amis super dark, on se retrouvait parfois le soir sur des terrains vagues pour souffler nos mèches en écoutant de l'opéra, le tout en fumant des cigarette Vogue aussi longue que le nez du masque de voilà l'union des lèvres roses pâles et piquante que bien peut pouvaient toucher de cette façon. Parce que les embrasser c'était comme effleurer une fleur empoisonnée. S'approcher de moi ne garantissait pas la vie, parce qu'il y avait toujours cette colère noir qui grondait en moi, symbole d'une multitude de frustrations dû à mon enfance passée enfermée dans les bibliothèque à accumuler beaucoup de savoir, car 'javais eu bon espoir de devenir professeur à l'âge de neuf ans, mais il parait que cela m'était impossible tant que ma majorité n'avait pas été coupje me laissealleren pensant en goutteen saut de ligne parce qu'il parait que ça accentue toute ma noirceur. Son baiser est passable, mais je le rends avec d'avantage de fougue, parce qu'il lui est interdit de me surpasser dans quelque domaine que ce soit, de toute façon il se rendra bien compte un peu plus tard que cela lui est impossible. Alors en l'embrassant je cherche où j'ai pu voir son visage. Puis je comprends, je me souviens. alors je commence à sourire en passant son tee-shirt par dessus sa tête. Car il a au moins le mérite d'être tout aussi ténébreux que moi. Ashton ParkerLégendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Jeu 5 Juil - 2308 Parmi les miracles divins encore visibles au vingt-deuxième siècle, on pouvait compter les fois où une semaine de grand beau temps à Londres s'enchaînait avec une autre semaine de grand beau temps, les fois où un directeur de Poudlard ne mourait pas dans des circonstances dramatiques en cours de fonction, et évidemment Ashton Parker. Il essayait du mieux qu'il pouvait de rester humble malgré sa condition mais c'était parfois bien difficile. Même pour son entourage, cela avait dû être terriblement dur de vivre et mourir constamment dans son ombre. Il savait d'ailleurs très bien qu'à sa naissance sa mère avait pleuré parce qu'elle savait déjà qu'elle ne serait jamais meilleure que lui, la pauvre. *signe de croix en levant les yeux au ciel*Il en allait de même pour les différents partenaires du sang-mêlé. Il lui arrivait de temps à autre de prendre du bon temps mais la plupart de ses conquêtes devaient avoir un arrière goût amère en pensant au fait qu'il ne connaîtraient plus jamais un aussi bon orgasme de leur vie. Parfois, lorsqu'il lui arrivait de s'ennuyer entre un méfait particulièrement malicieux et une apparition publique éblouissante, l'ex-Gryffondor pensait à tous ces gens qui croisaient son chemin et dont la vie serait à tout jamais en parlant de Gryffondor, ce n'était pas pour rien qu'il était allé là-bas puis que c'était la maison dans laquelle on retrouvait tous les sorciers aux pouvoirs et talents hyper cheatés et agaçants comme lui. Pour en revenir à l'action du moment, Ashton venait de donner le meilleur baiser de sa vie à une inconnue qui le lui rendait assez acceptablement. Elle ne pouvait d'ailleurs pas s'empêcher de lui enlever son t-shirt, ce qui paraissait normal puisqu'elle souhaitait admirer son magnifique torse. Le sorcier fit de même pour le haut de la jeune femme avant de retirer son soutien-gorge en quelques instants parce qu'il était trop doué et que s'il avait voulu il aurait largement pu le faire même sans les mains. Et puis bon il fallait bien admettre que sa conquête du soir valait le détour. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Dim 8 Juil - 1623 Il est des choses inoubliables, éblouissantes, si déconcertantes qu'on oublie de les saisir dans l'instant et que l'on regrette. Il était très clair que l'inconnu regretterait à jamais de n'avoir pu me saisir et me garder à ces côtés toute sont existence afin d'avoir au moins le privilège de vivre dans l'ombre majestueuse qu'est la mienne. Mais je suis insaisissable, j'ai de nombreux de part mes performances exceptionnelles, mais personne ne peut toucher mon cœur de glace. Il a été brisé parun amour impossible et au moins tout aussi dramatique d'une tragédie shakespearienne. Voilà ses mains qui glissent sous mon haut et entreprennent de me l'ôter, et je pense une seconde à le prévenir que mon torse pâle l'éblouira à coup sûrs, tant de splendeurs que de ces cicatrices multiples qui me font paraître si badass. Il y avait en effet de quoi être mille fois admiratif. alors j'expose mes fêlures pour montrer que j'ai beau être un être torturé et sombre, je suis aussi sensible. J'ai l'air de rien des faiblesses qui cependant me présentent toujours à mon avantage trop trop sexy, trop Je suis cellui qui aurait pu inspirer le personnage de Bella Swan si j'étais à la bonne époque. Le corps se fait féminin alors que les étreintes continuent, disparition de la bosse contraire à ce que l'on veut appeler l'ordinaire. Mais je suis parfaite, jamais trop excentrique, toute est une histoire de juste mesure. Et voilà mon torse nu que je le laisse effleurer, car il n'en aura l'occasion qu'une seule fois dans sa vie. Mes mains continue à parcourir son dos et son ventre, parce qu'il faut reconnaître que le détour vaut le coup aussi de ce côté-ci. Les lèvres continuent à chercher les siennes alors que mon pantalon tend à disparaître. Il y a cette fougue à vouloir exposer ses talents. profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas jamais. c'est vrai je suis sauvage au fond, j'attire les gens avec mes mystères, ils frôlent la glace de mon cœur et deviennent accro à moi. Meilleur façon de se créer une cour chez les élèves et les autres dans laquelle tout le monde se dispute mes faveurs. Ashton ParkerLégendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 11 Juil - 1524 A présent qu'il était torse nu, sa partenaire pouvait admirer la grande cicatrice qu'il arborait sur le flan. Cela montrait qu'il avait du vécu de badass, qu'il ne fallait pas le chercher sinon il serait capable de se battre sacrément violemment. Cette cicatrice il se l'était fait en tombant de son balai en cinquième année en combattant un ours polaire à mains nues. La seule raison pour laquelle il ne l'avait pas achevé était que son espèce était menacée par les moldus et qu'au fond c'était un mec en revenir à l'action qui se déroulait en ce moment même, les vêtements étaient à présent bien plus présents sur le sol que sur eux et c'était mieux comme cela. On pouvait largement mieux admirer le corps digne d'un dieu grec d'Ashton lorsqu'il n'avait rien sur lui. Certains haters diraient que sa plastique de rêve était à cent pourcent fake étant donné qu'il avait entièrement remodelé son apparence à l'aide de la Métamorphomagie mais lui considérait que c'était plutôt l'inverse puisqu'il avait fait tout cela lui-même simplement grâce à son Profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas n'était pas Occlumens faculté qu'il avait d'ailleurs appris en autodidacte comme un bg, Parker aurait juré que sa conquête du soir lisait dans ses pensées. Certes elle était pour l'instant un excellent coup mais bon, de là à la qualifier d'inoubliable le sang-mêlé ne se prononçait pas étaient à présent passé aux choses sérieuses et Parker envoya balader d'un geste de la main les cousins qui encombraient le canapé afin qu'ils aient la place de s'y étaler. Tout en embrassant fougueusement la propriétaire des lieux, le sorcier changea de position pour se retrouver au-dessus d'elle. Il devenait difficile de réfléchir dans le feu de l'action mais en parlant d'inoubliable, la personne collée à lui commençait à lui dire quelque chose. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 23 Juil - 103 tw - sexeLA de Ashton accordéLes choses s'accélèrent et j'en ai presque la tête, tant ça fait longtemps que je ne l'ai pas fait avec quelqu'un capable de satisfaire mes désir si élevés. Alors quand tu bascules au dessus de moi en m'embrassant, je comprends. Il y a quelque chose dans ta gestuelle que je connais déjà mais que je ne comprendrai que plus tard. Parce que pour l'instant y a mon dos qui se cambre alors que tes lèvres descendent parce que ça fait longtemps qu'on s'est pas occupé de moi ainsi. Le cou, le ventre, tes lèvres suivent le cours de la cicatrice jusqu'à mon aine, puis descendent plus bas encore. Comme si ta bouche avait le don de lire et que je sois ton livre favori. Trouve la page que tu préfères dans la douceur de mon écrin et lis-la attentivement, avec fluidité aisance et enthousiasme. Ne t'avise pas d'omettre un seul mot et je jure que le dénouement sera exquis. Les mots vont jaillir, recouverts de miel ambre. Couler sur tes lèvres. Et quand tu n'en pourras plus assieds-toi. Parce que ce sera mon tour de jouer de la musique avec toi, les genoux comme souvent s'égratignant au sol. Mais avant que je me redresses, alors que tu seras assis, il y aura l'interrogation unique un Parker ? entrecoupé par le souffle saccadé. Parce qu'il n'y avait qu'une seule personne capable de m'égaler dans tout ce qui touchait au plaisir charnel. Je le savais. Et puis cent fois sur le métier, je remettrai mon ouvrage, mes lèvres trouvant à leur tour ton corps, en dessinant les contours d'abord pour mieux saisir et comprendre la complexité de cette nouvelle apparence. Je te trouverai mieux comme ça, il y avait d'avantage de douceur dans tes yeux, d'avantage de courbures sur tes hanches. Alors je descendrai encore, te rendant la monnaie de ta pièce, les lèvres dociles et agiles, et malgré la répétitions des gestes une nuit après l'autre sur des inconnus avides d'eux même, il y aura ce soir la réelle envie de te donner du plaisir. Parce qu'avec toi il y aura l' que je garde un excellent souvenir de notre dernière nuit ensemble. Ashton ParkerLégendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 29 Aoû - 1803 LA de Shae pour clôturerIl devenait à présent difficile pour Ashton de garder la tête froide, malgré son QI exceptionnel on pouvait quand même dire qu’à présent la majeure partie de sa réflexion s’effectuait avec son entrejambe. Il avait cependant la satisfaction de voir que sa partenaire semblait apprécier ce qu’il faisait, preuve qu’il n’avait pas perdu la main et qu’il était toujours le meilleur coup du pensée persistait pourtant dans l’esprit du Métamorphomage. Il avait comme une sensation de déjà vu bien qu’il soit certain de n’avoir pas rencontré l’inconnue avant ce soir ; quelqu’un comme ça ne s’oubliait certainement pas. C’est alors que, au milieu de l’action qui unissait leurs corps, elle prononça son nom bien qu’il était certain de ne pas lui avoir donné plus tôt. Et soudain cela fit clic dans son esprit, les pièces du puzzle s’assemblant Keats ? demanda-t-il dans un fois leurs ébats terminés, alors qu’il reprenaient leurs esprits, toujours allongés sur le canapé, la propriétaire de l’habitation lui expliquait qu’elle était bel et bien la personne qu’il connaissait auparavant sous le nom de Leo. Coïncidence incroyable c’est fou comme le monde est petit ! elle était aussi Métamorphomage et se prénommait à présent Shae. Bien évidemment Ashton lui expliqua également ce qu’il lui était arrivé. Tout compte fait le destin avait bien fait les choses et il était ravi d’avoir recroisé la route de du RP Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 12 Nov - 1129 Pv FilsLa nuit n'est jamais complète, au bout de chaque antre bleue se reflète une fenêtre. Rebord de bronze, ou de rouille, on a oublié depuis le temps, mais peu importe. Il y a au bout de la nuit, juste après un énième mauvais rêve du chiard, une ouverture sur le dehors. L'extérieur guère plus clair que ne l'est la lucidité matinale, obscurcie par la fumée que crache à pleins poumons la cheminée délaissée depuis le retour sur le sol fenêtre éclairée où un rêve veille toujours. L'âme vivante se réapproprie peu à peu les lieux. Les murs s'imprègnent de la nouvelle maîtresse du fort alors que rien n'est officiel. Il n'y a que l'odeur du dimanche matin hivernale, du froid et de cendres sur la petite bourgade dont le corps exquis n'était pas encore parvenu à franchir le seuil. Deux ans et demi trop tard. L'existence du hasard préférée aux rendez-vous, j'attendais, un quart de thé sur les lèvres, le dernier sur les genoux. Le jour pâle ne tarderait plus, mais nul bambin à enterrer à l'aube. À l'heure où blanchit la campagne il ne se passera rien, les drames se sont volatilisés entre moi et ici. Il y a pleus qu'une nouvelle routine à se forcer à avaler, jusqu'à en trouver le goût un tant soit peu supportable. La crainte du matin a remplacée le dimanche soir. Âpreté des lever du jour, sans comprendre pourquoi lui se lève quand l'autre tombe passé dix-sept heures. Le nuit guillotine qui s'abat sur la conscience et berce dans un pays où les paroles n'ont plus lieux d'être. La communication imagée, et rien n'a la moindre importance. Porte d'ébène refusées à l'éphèbe, assis sur sa chaise, un thé en main. Celle qui ce matin se contentera des cendres, de la nausée délicieuse de n'avoir point assez dormi. La gueule de bois sans avoir bu et les délices de la sobriété fragile et toute nouvellement acquise. Le manque-chaleur, le manque fournaise, l'impression que le creux remplace l'oxygène. Et le Hodor le fils perdu. Perdu en même temps que le miroir. Le Pinnochio joueur noyé dans les éclats de verres. Le fils à qui l'on aurait dû dire, mais à qui on ne dira pas. La peur d'en mourir pour des mots prononcés bien trop bas. Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLïnwe Felagünd, le Mer 12 Déc - 2133 SURFACE DURE — pv. dans les rues de Pré-au-Lard comme si c'était Paris, New York ou Copenhague. Les briques rouges se remplissent de brume à la javel et blanchissent lorsqu'on les passe à la lumière du crépuscule. La lune danse sous les étoiles ce soir. Début de soirée. Une bouteille vide de whisky traîne comme un vieux mort entre les pavés et la bouche d'égout. — Il y a un énorme fossé entre ce que l'on est et ce que l'on croit espoirs de retrouver son Elhëna vont de désillusions en désillusions. Il sait qu'elle a irrémédiablement changé, qu'elle n'est plus du tout comme avant et pourtant, il se l'accorde pour la première fois c'était peut-être une erreur. Le pire dans tout ça, c'est qu'il n'a pas l'air d'être peiné par cette sensation si terrible, suffocante et terrifiante. Non. Plus rien ne le traînera vers le fond, parce qu'il y a passé tout son temps et qu'il sait comment sortir de là. Le visage aussi froid qu'un glaçon de neige, le regard et la mâchoire qui se durcissent. Les yeux qui croisent une lumière brisée à travers la vitre d'une habitation qu'il croyait abandonnée depuis des pour l'intrusplutôt que le sixième année sort sa baguette, une nouvelle d'ailleurs, qu'il a renommée Ontamo. Celle qui créé. Celle qui sculpte. De sa main d'artiste, la création est née. Elle est aussi spéciale que lui, aussi unique. Aussi élégante. Aussi délicate et redoutable à la fois. L'esthétisme est assez incroyable, entre le cœur et le corps. Traverser le portail à pas de chat. De son autre main, il rentre par effraction avec son canif magique - place à l'humeur fracassante. La tempête. Qui risque d'éclater, dans la salle à têteUne tête bien trop connue pour être sienne est une surface comme un bout de bois, de glace ou d'effroi masque de tufais là. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Mer 26 Déc - 1455 Le serment a en soit été célébré. Nulle dérogation aux mots ni aux attentes Disparaître n'est pas trahir. C'est s'écarter, laisser la place à une autre entité qui supporte les matins d'hiver. Qui n'utilise pas la vapeur de son thé comme paravent pour se cacher du monde. Nul refuge non plus derrière l'âpre de la cigarette à moitié consumée. Celle qui outrepasse à peine ses droits en se répandant en miettes de soi dans l'atmosphère. Ostensoir improvisé pour célébrer un retour à une vie dans laquelle l'être se cantonne. Le gris avale tout sur son passage, bientôt recouvert de couleurs froides alors que l'aube point. Insupportable de lenteur. Une fois le soleil apparu, tout sera plus simple. La maisonnée insupportable de silence s'animera un peu. Mais il y a un silence religieux dans l'attente de la vie et du réveil des paysages. Un silence que la voix qui s'étrangle dans la gorge ne parvient à briser. Qu'accompagne la nausées des nuits trop blanches lorsque les jours noirs sont refusés par les qu'on aura tout le temps de rattraper ses nuits une fois les deux moustiques lâchés au monde. Il ne neige plus sur les tables non plus, la sobriété accompagnée d'une réalité fade. Plus de poudreuse ni de flocons survivants au milieu des traces de doigts. Ne plus confondre les molécules avec l'atmosphère. Il semblerait qu'il s'agisse de grandir. Ne plus se perdre dans la poussière de l'autre bout d'un monde. Et commencer à bâtir dans la qui grince- tranche en pointe métallique dans le silence gris et vie. vie qui s'immisce par la porte quand on ne l'attend plus. Celui à qui on a pensé mais à qui on a rien dit. Ne pas trop savoir quelles excuses présenter. Incapacité à dire le vrai car admettre avoir voulu tendre une main que l'on a toujours présenté tremblante sous ce visage-ci. Question évidente et réponse tout autant. On est rentrés. Les gosses se construisent pas tous seuls. Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLïnwe Felagünd, le Lun 7 Jan - 1341 SURFACE DURE — pv. est surpris mais il ne le montre pas. Il n'est plus du genre à laisser ses pensées intérieures immerger son visage pâle. L'envie de tout lui balancer à la gueule aussi, qui le prend aux tripes. Une nausée qui survient - tant par la colère que pas la douleur. La douleur d'une perte. D'une absence. Parce qu'iel était sans accord, sans rien et sans bruit dans la nuit morte. Laissant derrière iel, deux pauvres employés aux Trois Balais. C'était pas censé être un cocon familial, ce truc ? Tout à l'air plus triste ici. Une maison laissée forcément à l'abandon pendant tout ce temps. Et les petits, dorment-ils sur de la paille ? En tout les cas, ils sont toujours bien vivants, bien là. Les gosses ne se construisent pas tout seuls et pourtant, iel avait fait son choix à l'époque, de fuir l'établissement, le village, la région, le pays et toute cette m*rde qui colle à la peau. — Depuis quand ? Depuis quand sont-ils revenus ? Ce n'est que la première fois qu'il voit de la lumière par ici, comme si quelque chose n'allait pas. Comme si quelque chose clochait. N'était pas normal. Une étrange lumière. Une lumière sans vie. Malsaine. Hypocrite. Qui attend quelqu'un, quelque chose, un espoir. Inexistant. Il bouillonnait Il bouillonnait sur placecomme une marmiteun chaudron aux parois lisses et douteuses qui ne laissentparaître aucune réflexion. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 18 Fév - 2214 Retrouver l'enfant prodige coincé entre les aiguilles d'un matin gris, d'une nuit blanche et d'un jour noir. Poser la tasse un peu plus loin parce que les paratonnerres ont été laissé là-bas, où que cela puisse être. L'envie d'incarner un instant un philippides, de fuir les non-mots électrique que la nausée et les silences portent, se fait sentir. Mais l'aller-simple pour l'ailleurs n'a même pas réussi à se suffire. Il a fallu courir, en sens arrière, pour venir remonter l'horloge qui elle n'a jamais pu s'ancrer ailleurs. Les respiration paisibles de l'étage ramène les considérations à des tons plus bas, et si elle s'en réjouit elle n'en dira rien, il n'y a plus d'énergie pour les cris, les éclats de céramiques sur la langue. Nul avis à attendre concernant un choix qui n'appartient qu'aux trois branches du même saule déraciné. Electron libre, qui tente toutes ses folies avant de fixerl'inavouablel'idéal de sagesse. User les souliers, perdre la muse, elle se perd en mille barrage de liège et oublie le tronc même de la ronce, la présence de l'enfant qu'il faudra cesser de voir comme tel. Car les grains s'amenuisent et les esprits changent, elle réalise qu'elle ne connait plus ce qu'elle n'a jamais prétendu connaître. Elle s'interroge sur les crises de fronts, si l'enfant à réussi à prendre soin sans l'ombre pantin qui l'entourait. L'ombre malsaine mais qui crée des monstres de terre pour remplacer les autres en vain. L’œil unique du loup ne parvient à saisir l'histoire que les interrogations envoient. Et l'interpellation muette reste en suspend. Énième pièce de Beckett, bien que l'envie de rejouer les beaux jours se perde en idéaux plus confortables. Mais le silence couvre la scène de son suaire que le regard ne supporte pas. Et il y a dans les fondations mêmes des liens quelques chose qu'elle n'a pas su préserver. Les voûtes d'ogives se sont peu à peu émiettées en remords d'un côté et en reproches de l'autre. Bien trop peu de temps. Mais l'esprit du vaisseau-mère n'est pas reconnu pour sa rapidité. Et les réalisations mettent un temps à prendre leur sens. Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLïnwe Felagünd, le Jeu 14 Mar - 2031 SURFACE DURE — pv. regard livide. Tête penchée. Le cerveau ne fonctionne plus comme avant, le cœur non plus. L'âme s'est modelée différemment, en une sorte de coulis de miel généreux et malléable. Plus rien ne lui ressemble. La colère lui grimpe des chevilles aux racines de cheveux clairs - sans en émettre le son vulgaire. Une formule qu'on dit bien trop souvent. Il a cette incapacité à assumer ses émotions, bien plus que ses actes. Un roman décousu, voilà leur relation établie jusqu'à maintenant. Qu'en est-il du Leo de jadis ? Qui riait dans les couloirs de l'école. À outrance. Qu'en est-il de ce grand garçon qui lui a tout appris lors de son intégration ? Qu'en est-il du parrain spirituel qu'il avait réussi à trouver au début ? Et du directeur de maison ? Du concierge ou du gardien ? De son ami ? Qu'est-il devenu ? Pourquoi est-il si étranger aujourd'hui ?Le rythme cardiaque décélère au fur-et-à mesure de la conversation absurde. Elle se fait sourde et muette, Beethoven et l'enfant pauvre boivent tous deux leurs paroles insensées. Il n'y a plus grand chose à dire parce qu'il n'y a plus grand chose à faire. Je pense que je vais partir. Allait-il seulement réagir ? Re [Habitation] The Sphinx's RiddleContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Voiciquelques conseils pour que vos pets sentent moins fort : 1. Mangez beaucoup de fruits et de légumes. 2. Évitez autant que possible de manger des aliments transformés. 3. Évitez de manger de la viande, car elle est souvent plus riche en graisses et nécessite plus de temps à être digérée par votre organisme. 4. "Si le conjoint n'est pas capable de dire stop à son enfant et d'imposer un respect élémentaire, mieux vaut se désinvestir de sa relation à l'enfant", conseille Marie-Luce Iovane, présidente du Club des Marâtres. iStock Se donner du tempsÀ 30 ans, Louise n'a pas d'enfant. Elle vient tout juste de faire la connaissance d'Aurore et de Clément*, le fils et la fille de Thomas, respectivement 14 et 8 ans, son compagnon. "Cela n'a pas été une mince affaire. Pendant des mois, j'ai botté en touche, décalé le rendez-vous. Je ne voulais pas briser notre bulle, le cocon de notre vie à deux. J'avais aussi peur de ne pas réussir à les aimer. Je me mettais une pression énorme. Finalement, la rencontre s'est faite en douceur, autour d'un déjeuner. Il y a des traits de caractère qui m'irritent chez Clément, mais je me dis que ce n'est pas mon fils, pas ma vie. Je ne veux pas entrer en conflit, ni avec lui ni avec Thomas. J'apprends à relativiser. Pourtant, je ne me leurre pas. La présence des enfants aura un impact sur notre vie future. Clément a déjà prévenu son père il veut vivre avec nous." L'avis des spécialistes "Il est parfois délicat d'être immédiatement à l'aise avec des enfants lorsque l'on n'en a pas soi-même. Le mieux est donc de conserver une position attentiste, d'observateur un peu en retrait. Le parent ne doit pas prendre cette posture distancée pour de l'indifférence mais pour une volonté de découverte progressive, un apprivoisement réciproque. On n'est pas obligé d'aimer immédiatement les enfants de son conjoint", explique Catherine Sellenet, co-auteure de L'enfant de l'autre, petit traité sur la famille recomposée, aux éditions Max Milo. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement "Il faut prendre son temps", confirme Catherine Audibert, psychologue et auteure d'OEdipe et Narcisse en famille recomposée, aux éditions Payot & Rivages. "Il vaut mieux s'écouter et rester naturel que de s'imposer des activités qui nous ennuient ou une présence forcée. Avec le temps, on se demandera simplement quelle place on souhaite prendre auprès d'eux, sans obligation ni culpabilité. Cette relation s'épanouira peut-être plus lentement mais elle sera plus solide, plus profonde et sincère", souligne Catherine Audibert. >>> Lire aussi notre dossier sur les relations familiales Ne pas trop en faireLouis a 40 ans. Il a un enfant issu d'une première union. En couple avec Muriel depuis deux ans, il est prêt à tout pour que son beau-fils, Aurélien, 13 ans, l'apprécie. "Je ne vois pas très souvent mon propre fils car il vit avec sa mère en province. Je reporte donc toute mon attention sur Aurélien. Je l'accompagne au foot tous les mercredis, je l'emmène régulièrement voir des matchs, j'essaye d'avoir le plus de moments privilégiés possibles avec lui. Lorsqu'il est en conflit avec sa mère, je me surprends souvent à lui donner raison ou à plaider sa cause auprès de Muriel. Il est vital pour moi que mon beau-fils me fasse une place dans sa vie. Pourtant, il commence à me reprocher d'être trop présent. Il me lance de plus en plus régulièrement 'Tu n'es pas mon père.' Il me rejette et cela me blesse profondément." L'avis des spécialistes "En maintenant cette relation avec Aurélien, Louis tente de compenser son absence auprès de son propre fils. C'est une erreur", estime Catherine Sellenet. "Les enfants décodent très bien les stratégies des adultes. Quand leur attachement est le fruit d'une insécurité, d'un mal-être, cela les rend méfiants. Voir un tiers essayer de prendre la place de leur parent les met face à un conflit de loyauté. La défiance s'installe, jusqu'au rejet pur et simple du beau-parent", détaille Catherine Sellenet. Alors que ce dernier pense avoir tout fait pour poser les bases d'une vie de famille épanouie, il voit alors progressivement l'enfant s'éloigner de lui. "Dans ce cas, il faut prendre du recul", conseille Marie-Luce Iovane, présidente du Club des Marâtres, un groupe de parole destiné aux belles-mères. "S'intéresser à l'enfant de son conjoint, c'est très bien, mais il ne faut en aucun cas empiéter sur son espace. On ne doit pas tenter de se rendre indispensable. La confiance et l'affection, cela se gagne pas à pas, cela ne s'impose pas." Remettre le couple au centreDepuis trois ans, Sylvie, 45 ans, vit avec Fabrice et sa belle-fille, Marion, 15 ans. Aujourd'hui, elle est sur le point de craquer. "Marion me fait vivre un enfer depuis des mois. Elle est en pleine crise d'adolescence. Elle me pique mes vêtements en cachette, me critique ouvertement devant son père, rentre à des heures indues. C'est invivable. Dès que je tente de faire preuve d'autorité, elle me renvoie vertement dans les cordes. Mon compagnon n'ose rien lui dire. Lorsque je lui demande son appui, il réagit à peine. J'aimerais qu'il reprenne pleinement sa place de père et de conjoint pour que je puisse retrouver un peu de sérénité. Je ne peux pas m'empêcher de le trouver lâche et j'en veux terriblement à ma belle-fille de nous faire vivre ça." L'avis des spécialistes "Si le conjoint n'est pas capable de dire stop à son enfant et d'imposer un respect élémentaire, mieux vaut se désinvestir de sa relation à l'enfant. Après tout, pourquoi être présent auprès d'un enfant qui ne nous respecte pas?", s'interroge Marie-Luce Iovane. "En tant que beau-parent, on attend trop souvent une reconnaissance qui ne vient jamais. On ne peut pas forcer son conjoint à reprendre sa place mais on peut changer sa propre attitude et ainsi le mettre face à une réalité qu'il ne veut pas voir", avance la présidente du Club des Marâtres. "Certes, le parent doit prendre ses responsabilités, mais le beau-parent doit également avoir à l'esprit qu'il faut parfois prendre du recul face aux provocations de l'enfant pour préserver l'équilibre familial. Si rien n'y fait, on peut organiser des conseils familiaux afin que chacun puisse s'exprimer librement", suggère Catherine Audibert. >>> Lire aussi notre dossier sur la famille recomposée Trouver des solutions alternatives Quand la situation semble sans issue, certains n'hésitent pas à employer les grands moyens. C'est le cas de Claude, 55 ans "J'ai quitté ma femme et mes enfants il y a plusieurs années pour vivre avec Sophie, que j'aime follement. En revanche, je ne supporte pas sa fille, Camille. Je la trouve mal élevée, insolente. Nos disputes ont pris une telle ampleur, rendant le quotidien si détestable pour tout le monde, que j'ai préféré quitter la maison. Aujourd'hui, je vis seul. Je ne vais chez ma compagne que deux ou trois fois par semaine. Cela me rends profondément amer. J'ai tout fait pour reconstruire une vie de famille recomposée épanouie et heureuse. Sans succès. Aujourd'hui, il est trop tard pour changer les choses." L'avis des spécialistes "Arrêtons d'entretenir une vision idyllique de la famille recomposée. Elles sont souvent plus fragiles et conflictuelles qu'on ne le pense. Le beau-parent se voit imposer les choix éducatifs de son conjoint, sans pouvoir les remettre en question. S'il les réprouve, il finit par être en proie à un sentiment d'impuissance profond. Entre agacement et frustration, les relations avec ses beaux-enfants se dégradent. Quand il y a tel constat d'incompatibilité, il est plus sain de vivre son couple à mi-temps. Le choix de vie de Claude ne me paraît donc pas être une mauvaise solution. C'est une alternative à un quotidien familial infernal", constate Catherine Sellenet. "Vivre une seconde vie amoureuse n'implique pas nécessairement de réussir à recréer une famille, dans la pleine acception du terme. Il est illusoire de penser que cela va de soi. Loin des fantasmes de famille recomposée idéale, à chacun de trouver son propre schéma de coexistence, un mode de vie qui convienne à tous", conclut Marie-Luce Iovane. *Tous les prénoms de l'article ont été modifiés >>> Lire aussi Comment surmonter les difficultés de la famille recomposée *Tous les prénoms de l'article ont été modifiés Leslie Rezzoug Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine Buéno*ChroniqueJean-Laurent Cassely Jesuis tombée amoureuse d'un alcoolique il y a deux ans, lui aussi est l'homme le plus merveilleux quand il n'a pas bu, mais quand il bois c'est difficile, j'avoue avoir besoin d'aide, je ne sais plus quoi faire. Il va au réunion AA depuis 2 semaines, j'ai décider de l'accompagner au réunion ouverte.Un livre est sorti d'un grand journaliste qui après une Sur cette terr', ma seul' joie, mon seul bonheur C'est Mon Homme. J'ai donné tout c'que j'ai, mon amour et tout mon cœurÀ Mon Homme Et même la nuit, Quand je rêve, c'est de lui, De Mon Homme. Ce n'est pas qu'il est beau, qu'il est riche ni costaud Mais je l'aime, c'est idiot, I'm'fout des coups I'm'prend mes sous, Je suis à bout Mais malgré tout Que voulez-vous Je l'ai tell'ment dans la peau Qu'j'en d'viens marteau, Dès qu'il s'approch' c'est fini Je suis à lui Quand ses yeux sur moi se posentÇa me rend tout' chose Je l'ai tell'ment dans la peau Qu'au moindre mot I'm'f'rait faire n'importe quoi J'tuerais, ma foi J'sens qu'il me rendrait infâme Mais je n'suis qu'un' femme Et, j'l'ai tell'ment dans la peau ... Pour le quitter c'est fou ce que m'ont offert D'autres hommes. Entre nous, voyez-vous ils ne valent pas très cher Tous les hommes La femm' à vrai dir'N'est faite que pour souffrir Par les hommes. Dans les bals, j'ai couru, afin d'l'oublier j'ai bu Rien à faire, j'ai pas pu Quand i'm'dit "Viens"J'suis comme un chien Y a pas moyen C'est comme un lien Qui me retient. Je l'ai tell'ment dans la peau Qu'j'en suis dingo. Que cell' qui n'a pas aussi Connu ceci Ose venir la première Me j'ter la pierre. En avoir un dans la peau C'est l'pir' des maux Mais c'est connaître l'amour Sous son vrai jour Et j'dis qu'il faut qu'on pardonne Quand un' femme se donneÀ l'homm' qu'elle a dans la peau ...
Dufait de mon physique, quand un mec d'1,70 m et de 65kg se tient devant moi, j'ai du mal à imaginer comment il pourrait me dominer. Il y a un blocage mental lorsqu'il s'agit de m'autoriser à perdre le contrôle. Ça veut dire que je deviens le passif dominant, devant quoi les dominants ne savent pas comment réagir. Et j'admets vouloir que mon actif fasse ce
InvitéInvité⠂about me ⠂⠂a little more⠂Mer 14 Avr - 1835TRAGIC TRUTH"La vérité est comme le soleil. Elle fait tout voir et ne se laisse pas regarder.Victor Hugo."◊ ◊ ◊En fait, c'est compliqué. Voilà la seule réponse que tu retiens, dans tout ça. Ash est une personne à part entière, qu'est-ce ça pouvait faire que lui, il te voit comme un frère ? Tu ne te rends pas compte comment ce "triangle" entre vous trois peut être très compliqué. Frère de coeur avec un, amant avec l'autre... Non, ça ne rentre pas dans ta tête. Soudain, tu vois quelqu'un t'approcher. Tu le regarde, silencieusement. Il passe, ce sont ces étoiles qui reviennent. L'illusion d'une attraction. Il te tend quelque chose que tu prends, sans savoir ce que c'est et il part, non sans te regarder si intensément que si tu en étais sensible, tu pourrais t'enflammer sur place. Qu'est-ce que c'est ? C'est pas un comprimé, mais juste un peu de poudre. Tu es curieux. Poussé par les émotions négatives qui pénètrent ton corps en entier et la curiosité de ce sachet, tu décides de l'ouvrir. Tu regardes autour de toi. Personne. Le gars est parti, comme poussé à te donner quelque chose qu'il ne voulait pas. Tu lèches un de tes doigts et le trempe un peu. Pas sûr de ce que c'est, tu préfères rester un peu prudent. Puis, tu y goûtes. Ça goûte pas grand chose... Mais tu te doute que c'était pas du sucre ! Une drogue ? Certainement ! Laquelle ? Tu sais pas. DRIING. DRRIING. DRIIIIIIIIIIIIIING. Quoi, encore ? Tu prends ton portable et tu vois le prénom de Cassidy apparaître en gros. Des messages sont laissés. Tu décides de pas répondre, encore, pour pouvoir les écouter. Au début, les messages sont plutôt doux, une once paniqués, mais ils se transforment. Ils prennent une tournure plus "ferme" qu'avant. Peut-être de la colère ? T'es pas sûr. "Si ça n'allait pas tu peux m'expliquer.." La voix est un peu paniquée. Elle te semble provenir d'un peu loin, de plus en plus. Les mots s'enchaînent. Rappelles-moi. Certainement pas, pas après ce qu'il vient de te faire ! Tu sais pas toi que le mec qui t'a donné ce sachet voulait que tu le gobe au complet pour ensuite revenir. Tu sais pas ce qui plane au-dessus de ta tête. Tu poses la tête sur le muret derrière toi et tu regardes l'eau qui se mouvoie. Tu penches un peu sur le côté. Ouah. C'est quoi, cette sensation bizarre ? Tu te sens un peu engourdi. Limite tu as envie de rire pour rien, mais ce n'est que le début des choses. Puis DRIIIIIIIIIIING encore. Hmmm ? Ton cerveau s'embrouille. Tu sens à peine ton corps maintenant, mais assez pour faire des gestes. Tu décroches, cette fois et c'est d'une voix monotone, comme si t'étais complètement perdu sur un nuage que tu réponds - Allôôôôô.....? T'a même pas regardé qui t'a appelé. T'a même plus idée de qui ça peut bien être. La voix se fait un peu forte au téléphone. Tu poses un index contre ton front. Qui c'est, déjà ? Il te faut plusieurs secondes avant de réaliser. - Ah ! Cassidy... C'est toi ? Bien sûr que c'est lui idiot ! Cette drogue commence à rentrer dans ton système et elle fait pas des miracles. C'est quoi ? Soudain, t'entends la voix te demander où tu es. Oh, pas de mensonge. T'es pas capable. Tes lèvres sont un peu pâteuses et tu souffles dans le cabiné du téléphone - Hmmmm... aux Quais ! C'est encore le silence avant que tu rajoutes. - Proche de l'eaaaaaaaaaaaaaaau. Le mot eau s'étire alors que t'a limite envie de rire et de t'endormir. Ce que tu sais pas, c'est que la drogue que t'a pris, c'est du GHB. Puissante, mais t'en a pas pris assez pour perdre connaissance. La dose a été faible-moyenne, ce qui te donne vraiment l'impression de plus trop toucher au sol, une certaine somnolence, peut-être même moins inhibé. T'a pas de nausées. La dose était pas assez forte pour te mener jusque là. Tu sais pas toi que les effets peuvent durer en moyenne de 1 heure à 4 heures, dépendant de la dose que t'a pris. C'est la première fois que t'en prends, de la drogue. Poussé par un extrême plus ténébreux qui te dévore de l'intérieur depuis que t'a quitté la demeure des King. Ça doit faire environs 6 heures que tu t'es enfuis. Il est aux environs de 14 heures là, parce que t'a quitté vers 8 heures, le temps de te lever et que vous mangez. Tu l'entends plus, sa voix. Ton corps a chuté sur le côté et tu observes simplement le paysage devant toi, comme si tu pouvais voir des choses bouger alors qu'elles ne devraient pas. Tu sais pas qu'une voiture fonce droit dans ta direction, un conducteur à ta recherche à la fois paniqué et en colère. Tu serres seulement ton téléphone ouvert contre ta poitrine où on peut seulement entendre ta respiration lourde, mais lente, le bruit de l'eau et quelques passants. Tu sais même plus que c'est ouvert, la notion de réalité n'est plus trop là. T'es là et t'es pas là en même temps. Vu la dose que t'a ingérée, tu risques de te trouver dans un état second pour une à deux heures. Pas terrible... Mais ça pourrait clairement être pire que ça. c oxymortInvitéInvité⠂about me ⠂⠂a little more⠂Lun 19 Avr - 1849 tragic truth Sasha Collins◊ ◊ ◊ Sasha ! Rappelle-moi tout de suite ! » Ma voix est largement agacée. L'inquiétude est à présent mâtinée de peur et de colère. Le temps passe et Sasha ne m'a toujours pas rappelé. N'a guère répondu, d'ailleurs. J'ai sous le nez ses affaires et je suis certain qu'il ne les aurait pas laissé volontairement ; sur le coup de la colère, il s'est enfui. Je passe ma main sur mon visage. Son temps est compté. Qu'est-ce que ça peut vouloir dire ? Est-ce que les sirènes déperissent ? Est-ce qu'il est malade ? Je grogne et fais les cent pas dans la chambre, incapable de travailler. Avoir vu le lit fait, dans tout ce bazar, la petite touche de Sasha, ça n'a fait qu'augmenter mon inquiétude. Fébrile, je reprend le téléphone, réesaie encore une fois. Ne fais pas l'enfant. Je n'ai pas voulu dire ça comme ça. Rappelle-moi !» Mon café me reste sur l'estomac. J'ai une sensation de lourdeur, sur le corps. Toute l'euphorie ayant pu naître de cette nuit a diparue ; ne reste que le goût amer de ce début de journée. matinée passe, et enfin, après environ un million de coups de fils, l'intonation de la voix me répond, et non plus la messagerie - qui est saturée depuis longtemps. Je suis énervé, inquiet, en colère. Je n'aime pas cette façon d'agir, j'aurai aimé qu'il reste et qu'on discute, non qu'il fuit comme s'il avait eu le feu aux trousses. Sasha ! Sasha ? » Je passe de la possible engueulade au ton de quelqu'un d'inquiet - il y a quelque chose qui cloche. Tout va bien ? » Bien sûr que c'est moi ? Son timbre est lent, agité pourtant, ses syllabes sont longues, allongées, comme s'il avait trop bu. Il n'a quand même pas été boire ? Il ne s'est pas saoulé ? Où tu es, Sasha ? » La réponse ne se fait pas attendre, et je remercie, pour une fois, le fait qu'il ne puisse pas mentir. Je tente de lui parler mais à l'autre bout du fil, la situation semble ... étrange. Les quais. L'eau. Je ne raccroche pas mais je fonce à la voiture. Baby démarre au quart de tour. Et je n'entends toujours rien - hormis un léger bruit de respiration. Est-ce qu'il s'est évanoui ? Je l'appelle par son nom, je raconte n'importe quoi - que je suis en route, une bêtise qu'on a faite avec Ash quand on était gosses, mais je sais même pas s'il m'entend. Il y a quelques bruits d'eau aussi, quelques klaxons, des bruits de quais. Je me dépêche - je grille quelques feux rouges, manquant un bel accident de peu - et puis enfin, les quais. Je ne sais même pas quelle heure il est, j'ai la nausée à force d'être récupère les clés et, le moteur encore chaud, je descend et je trottinne - non, je cours. Les quais. Je regarde autour de moi, mais de toute évidence, je ne le vois pas. Avec un grognement, je raccroche puis, en rappelant, j'entends la sonnerie, un peu plus loin. Je me précipite, la gorge serrée. Il est là, allongé en face de l'eau - on pourrait le croire endormi, mais y'a vraiment quelque chose qui cloche. Je m'agenouille, en déposant mon téléphone à terre - est-ce que je dois appeller une ambulance ? Merde. Sasha ! Tu m'entends ? C'est Cass. Sasha ! » Je le secoue un peu ; le peu de passants nous jette un coup d'oeil puis se désintéresse. Et non assistance à persnne en danger, connards ? Peu importe. Je le secoue encore et je relève son menton ; il a l'air peu pâle dans la lumière du port, mais y'a rien de particulier. Pas de sang. Tu es blessé ? Tu as mal quelque part ? Bon dieu, répond » que je grommelle, à moitié suppliant. Je cherche son pouls, à la base de sa gorge ; léger, tranquille, bel et bien là .c oxymortInvitéInvité⠂about me ⠂⠂a little more⠂Lun 19 Avr - 1954TRAGIC TRUTH"La vérité est comme le soleil. Elle fait tout voir et ne se laisse pas regarder.Victor Hugo."◊ ◊ ◊Tout va bien ? T'a même pas le temps de répondre que y'a déjà quelque chose d'autre. Une autre question. Où est-ce que tu es ? Tu réponds d'une voix lointaine et mal assurée que t'es aux quais, sur le bord de l'eau. Le mot eau se traîne sur le long, puis c'est le silence radio pour toi. Tu t'effondres, doucement, comme si le sol était un oreille fait de plumes d'ange. Hmmm.. Pourtant, y'a pas plus inconfortable ! Tu n'entends pas les passants. Tu n'entends pas la voix de Cassidy au téléphone qui tente de te parler, de te faire réagir. Tu sais pas trop combien de temps tu passes là, allongé, à moitié dans les vapes, dans un monde secondaire. Puis, ça sonne. Pourquoi ça sonne ? T'a pas les capacités de te mouvoir correctement pour répondre à temps. Y'a que des pas qui se rapprochent de toi, plutôt rapidement. T'entends une voix, mais elle sonne faux à tes oreilles, comme si un voile la couvrait. - Hmm..? C'est la seule réponse que tu donnes. La seule qui franchit tes lèvres. Puis, on te secoue. Ça te donne vachement le tourni et cette fois, tu ouvres les yeux même si c'est une épreuve très difficile. Le blanc de tes yeux est légèrement rougit par cette intervention qui ne te plaît pas. T'avais envie de rester allongé et de t'endormir tout confortablement. T'a pas conscience dans quoi tu t'es fourré et encore moins où tu es. Pourtant, tu lui a dit, plus tôt. Maintenant, tu ne sais plus vraiment. - Cass..? Tu murmures, les paupières lourdes, même si tu as les yeux ouverts, maintenant. Ta tête balances un peu - style bubblehead - elle a du mal à tenir en place. C'est pas de l'ivresse dûe à l'alcool, mais à autre chose. Quelque chose de Mal..? Bon sang, tu as du mal à reconnecter avec la réalité et la seule chose que tu fais, c'est de longer ta main au sol, puis... Tu le sens. Le sachet. Tu le serre entre tes doigts et tu lui tends sous le nez. Tes pupilles sont dillatées et t'es pas très bien. - J... pense pas que... Tu as un mouvement saccadé et tu te redresse d'un coup, mais ton corps retombe moellement contre le muret. Tu sais pas ce que sont ces effets, mais y'a des possibilités de mouvements soudains et imprévisibles. - du sucre ? Toi et le sucre. Tu pensais que c'était ça, quand même un peu, au début, mais tu t'es royalement planté. - Compliqué ? Ça, le mot te revient en mémoire et c'est ça qui déclenche un peu le réveil, même si ton corps semble plus trop t'appartenir. - T'es là? Bien sûr qu'il est là, il est là depuis un petit moment ! La tête dans une brume pas possible, tu soupires. Soudain, tu te redresse, puis tu enroules tes bras autour des épaules de Cassidy pour le serrer contre toi, comme si la chaleur humaine pouvait aider à ton état. Ton corps se verrouille comme ça, impossible pour le moment de le lâcher. Mission impossible. Son odeur te revient. Quelque chose de musqué, mais y'a pas encore l'odeur du bourbon. C'est trop tôt. - Le laisse pas me trouver... T'a dit cela dans une voix paniquée, alors que tu sembles te coller encore plus contre lui, la peur qui a envahit tes traits. Tu caches ton visage dans son cou. Tu contrôles à peine ce que tu dis et ce que tu fais. Ton corps, un moment tendu, on moment détendu et ainsi de Me laisse... Tu hoquettes un peu. Ton corps se ramolit encore. T'es pas loin de perdre connaissance, cette fois. Ton corps glisse un peu. T'es un peu dans une drôle de position. Cassidy te tient dans ses bras comme on voit dans les films quand on héro ou protagoniste va mourir. Ta tête sur son épaule, l'un de ses bras dans ton dos. Tes yeux, perdus, le fixe. Tu le fixe à la fois comme si tu le connaissais et tu ne le connaissais pas. - Pas ici... C'est la conclusion de tes premiers mots, mais tu ne te souviens pas les avoir dit. - C'est noir... Tu murmures ça, alors que le voile s'intensifie devant tes yeux. Tu fermes un peu les paupières. Ton corps se détend encore davantage que t'es presque complètement mou dans ses bras. - Maison... Tu souffles ce mot, parce que tu veux qu'il te ramène de là où tu t'es enfuis plusieurs heures plus tôt. Tu veux qu'il te ramène, que vous ne restez pas ici. Ou que vous trouvez un coin plus tranquille. - Il reviendra... Puis c'est le noir complet, tes paupières se ferment et ta tête finit par complètement plonger vers l'arrière. T'a perdu connaissance. C'est pas pour très longtemps, mais ton corps le supporte pas. T'a pas pris une grosse dose, mais assez que ça va te maintenir comme ça pour une bonne heure encore. Va-t-il te ramener ? Que va-t-il faire ? T'en sais rien, t'es complètement perdu. Ta respiration est lente et profonde, ton coeur bat normalement.. Y'a juste ton cerveau qui répond pas et qui répondra pas trop pour la prochaine heure..c oxymortContenu sponsorisé⠂about me ⠂⠂a little more⠂

bonsoir, bein voilà je souffre je suis Dans une relation sa fai 3 ans dans chaque disputes mon copain prend sa distance il me parle plus quand je lui appel il me répond pas Après

Bad gateway Error code 502 Visit for more information. 2022-08-26 170614 UTC You Browser Working Frankfurt Cloudflare Working Host Error What happened? The web server reported a bad gateway error. What can I do? Please try again in a few minutes. Cloudflare Ray ID 740e2827dd149bda • Your IP • Performance & security by Cloudflare

Enfamille, au travail, dans la rue. L’agressivité est partout, et surtout, elle est contagieuse. Derrière elle, se cache un mal redoutable, peu reconnu mais trop souvent accepté par notre société : la violence psychologique. Voici des clés pour la reconnaître et s’en protéger. Sommaire.
. 463 339 748 130 767 495 617 323

je ne supporte pas mon mec quand il a bu