Àl'occasion de son sixième All-Star Game, Pau Gasol est revenu sur sa carrière, illustrée par deux titres de champion NBA, quatre sélections dans une All-NBA Team, un trophée de Rookie de l'année mais aussi A deux ans des Jeux olympiques de Paris, le président de la République souhaite réaliser un point d'étape, notamment sur les questions de la sécurité et des transports. Article rédigé par Publié le 12/07/2022 1529 Mis à jour le 12/07/2022 1530 Temps de lecture 1 min. Le président de la République Emmanuel Macron réunira autour de la Première ministre les acteurs des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, le 25 juillet prochain, "pour faire un point détaillé de l'avancement de la préparation des JO", a annoncé, mardi 12 juillet, la ministre des Sports et des JO, Amélie Oudéa-Castéra. A deux ans de l'évènement et deux mois après le fiasco de la finale de la Ligue des champions au Stade de France, l'exécutif passera en revue notamment les questions de "sécurité", de "transports", a fait savoir le ministère des Sports à l'AFP, à l'occasion d'un conseil d'administration du comité d'organisation. Celui-ci doit également donner, mardi, son avis sur le futur lieu des épreuves préliminaires de basket, dossier qui a beaucoup fait parler alors qu'il était au départ prévu porte de Versailles. Outre les ministres concernés, comme le ministre de l'Intérieur, seront présents le président du comité d'organisation Tony Estanguet ainsi que le délégué interministériel aux JO, le préfet Michel Cadot, a précisé le ministère à l'AFP. Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Jeux olympiques de Paris 2024 Ligue1 : «On ne peut pas réaliser une telle performance sans un état d'esprit exceptionnel», note Génésio Par Le Figaro avec AFP Publié le 07/11/2021 à 23:50 ,

Vous avez sans doute prévu d’aller courir ce week-end. Peut-être l’avez-vous déjà fait. Peut-être allez-vous culpabiliser dimanche soir de ne pas en avoir eu le temps ou le courage. Ces réflexions font partie de notre quotidien. Elles sont pourtant très récentes. Une quarantaine d’années, tout au plus. Jusqu’à la fin des années 1960, personne ne courait. Sauf les fous et les voleurs. Il existait bien quelques courses hors stade, certaines même prestigieuses comme le marathon de Boston ou historiques comme Morat-Fribourg, créée en 1932, mais elles ne rassemblaient que quelques centaines de concurrents. Tous étaient des hommes, tous âgés de 20 à 40 ans, tous licenciés dans des clubs athlétiques, tous compétiteurs et tous venus pour réaliser une a-t-on passé de 2000 inscrits à Morat-Fribourg en 1971 à 16 000 en 1986? Pourquoi en interdisait-on le départ aux féminines et aux juniors jusqu’en 1977? Pourquoi voit-on des milliers de femmes courir le marathon alors qu’elles n’avaient pas le droit de courir plus que 1500 mètres jusqu’en 1984? Que cherchent ces millions de personnes qui, occasionnellement ou régulièrement, sortent de chez elles sans dossards, sans licence, sans chronomètre, sans classement, juste pour courir? Aujourd’hui, plus personne ne se pose ces questions parce que le regard sur la course à pied a totalement la culture classique, la course est synonyme d’effort, d’endurance, de discipline. Les héros qui courent sont tous tragiques, de Philippidès, mort d’avoir trop couru, à Emil Zatopek, la locomotive tchèque, visage grimaçant, tourmenté, qui semble en surchauffe permanente. Et puis soudain, cela devient une source de plaisir pour tous, de découverte, de bien-être. Une fin en soi, et non plus un moyen d’entraînement. Et même un mode d’expression, peut-être le plus simple, le plus naturel, le plus gratuit. Lire aussi Spiridon», l'autre maillot orange Résultat d’une longue lutteCette mutation est le propos du film Free to Run, du documentariste genevois Pierre Morath, qui sort mercredi 24 février sur les écrans romands. Comme toutes les grandes idées, la sienne est toute simple raconter l’histoire du running. Avec pour sous-titre ce qui nous semble aujourd’hui aller de soi est en fait le fruit d’une longue coureur de niveau national, historien, entraîneur, propriétaire de magasins d’articles de sport, Pierre Morath avait toutes les clés pour saisir le sens profond de cette pratique récente, produite par la sédentarisation de la société et la tertiarisation du travail, et qui dit tant de nos vies modernes. Il réussit ce que Robert Zemeckis a raté dans Forrest Gump raconter, à l’aide d’images d’archives et de la voix de l’acteur Philippe Torreton, trente ans de notre société à travers la course à pied. Lire aussi Les six parents américains du running La sortie de Free to Run a été précédée de nombreuses avant-premières lire ci-contre, où la communauté du running s’est retrouvée, à la fois dans la salle et dans le film. Au fil d’une filmographie déjà respectable, Pierre Morath s’est toujours efforcé de montrer le sport à hauteur d’homme le vestiaire de Genève Servette, le car de l’équipe du Togo, la souffrance des enfants champions. Les images d’archives sont exceptionnelles, à la hauteur des efforts consentis et des sommes investies pour les million d’eurosSi l’idée était simple, sa concrétisation se révéla beaucoup plus complexe. Sept ans de travail et de recherche pour, au final, 18 mois de tournage, 18 mois de montage, 6000 heures d’archives, 80 heures d’interview et un budget d’un million d’euros. Il fut très difficile de faire financer le film, admet Pierre Morath. Le documentaire n’intéresse pas le cinéma et la télévision veut un format standard de 52 minutes.» Comme Pierre avait tout en tête depuis le début, il était clair d’emblée que ce projet allait coûter cher, se souvient le producteur Fabrice Estève. La période couverte est très longue, les archives olympiques se négocient 20 000 dollars la minute. Surtout, les amateurs de documentaires n’aiment pas le sport, les amateurs de sport ne regardent pas les documentaires.»Le film a fait le plein des avant-premières, a déjà été acheté dans de nombreux pays, mais doit désormais tenir le pari d’une sortie en salles. Il faut convaincre les spectateurs que Free to Run va au-delà du running», résume Pierre Morath. Un épisode le démontre de manière particulièrement éloquente. En 1976, Fred Lebow, l’un des organisateurs du marathon de New York, convainc ses collègues que la course, alors très modeste, doit sortir de Central Park pour visiter les cinq arrondissements de la ville Manhattan, Queens, Bronx, Brooklyn, Staten Island. Lire aussi Le souffle de l'épopée fait courir le bouche à oreille Il faut se souvenir de ce qu’est New York à cette époque. Big Apple est pourrie mais Fred Lebow pense pouvoir la soigner. Le marathon va unifier les quartiers», prophétise le visionnaire. Et c’est ce qui se passe! A la fin de la course, l’envoyé spécial de CBS résume Personne n’est mort, personne n’a été renversé par une voiture. Pour Bill Rogers le vainqueur et pour la ville de New York, c’est un succès.»Dès lors, le marathon semble puiser la vitalité de la ville qui ne dort jamais. Il lui offre en échange un autre regard sur elle-même. New York se pacifie, se nettoie. Dans Central Park, on ne croise plus des dealers mais Dustin Hoffman ou Jackie Onassis faisant leur jogging. Les autres villes copient la recette. Dans les années 1990, le marathon urbain devient un énorme business. Le flot de coureurs, qui n’était qu’un petit torrent de montagne, devient un long fleuve tranquille, qui grossit, grossit, et charrie parfois des eaux Morath n’élude pas la dérive d’une activité libre et gratuite» vers une économie du running. Le salaire moyen des participants au marathon de New York est supérieur à 100 000 dollars par an. On s’est mis à regarder sa montre au lieu d’admirer le paysage», regrette aujourd’hui le Dr Norbert Sander, l’un des pionniers de cette folle épopée. Free to Run. De Pierre Morath. Suisse/France/Belgique, 1h39. Sortie le 24 février.

Plongezau cœur de la course aux côtés des plus grandes championnes : découvrez toutes les coureuses, suivez la course et les classements en direct, accédez aux vidéos quotidiennes et participez aux jeux pour remporter des dotations exceptionnelles ! Aller sur le site. Club Parcours Classements Équipes Culture Tour Actus Réactions Grands Départs Chiffres clés Enjeux
Le pari, forcément incertain, est réussi, peut-être même au-delà des attentes. Florent Manaudou a décroché la médaille d'argent sur 50 m libre derrière le boss des bassins Caeleb Dressel, dimanche 1er août. Champion olympique en 2012 à Londres, vice-champion olympique en 2016 à Rio, le nageur a encore répondu présent à l'âge de 30 ans. Manaudou apporte à l'équipe de France de natation, jusque-là bredouille, une belle médaille. Tous sports confondus, c'est la 20e pour la délégation bleu-blanc-rouge à Tokyo. Arrivé à Tokyo sans grandes certitudes, il a bouclé sa finale en 21 secondes 55, loin derrière l'Américain Dressel 21"07 certes mais juste devant le Brésilien Bruno Fratus 21"57. Après Rio, pendant deux ans et demi, il avait délaissé les bassins de natation pour tenter sa chance en handball, sa passion de jeunesse, avant de replonger en 2019. "J'ai arrêté, je suis revenu, je pense qu'il y a 95% des gens qui ne croyaient pas en moi, ça m'a boosté aussi. J'aime bien ça, moi", a commenté le désormais triple médaillé olympique de l'aller simple, devenu seulement le troisième nageur de l'histoire à réaliser cette performance, après Alexander Popov et Gary Hall. 21e médaille assurée avec les fleurettistesPremière médaille de la journée, donc, pour Florent Manaudou. Une deuxième tombera a minima dur les coups de 13h45, à l'issue de la finale du fleuret par équipe messieurs. Enzo Lefort, Maxime Pauty, Julien Mertine Erwann Le Pechoux remplaçant seront opposés à partir de 12h50 à la Russie concourant sous pavillon neutre après leurs succès en quart contre l'Egypte et en demie face au Japon. Il y a de l'or ou de l'argent au bout. Mourad Aliev crie à "l'injustice"En boxe, Mourad Aliev, seul Français encore en lice, a été éliminé sur disqualification chez les +91 kg, dimanche. "C'est injuste, tout le monde a vu que j'ai gagné", a-t-il protesté en vain, encore sur le ring, alors que l'arbitre venait de lui signifier sa disqualification pour un coup de tête porté à son adversaire le Britannique Frazer Clarke. Quelques heures plus tard, il ne décolérait toujours pas. Anthony Jeanjean 6e du BMX freestyleAutre déception dans le camp français, celle d'Anthony Jeanjean pour l'entrée du BMX freestyle aux Jeux olympiques, il n'a pu prendre que la 6e place, trahi par "une erreur technique" qui l'a fait chuter dans son deuxième run. Le premier champion olympique de l'histoire est l'Australien Logan Martin, devant le Vénézuélien Daniel Dhers et le Britannique Declan Brooks. Idem pour Jean-Baptiste Bernaz en voileEn voile, Jean-Baptiste Bernaz, a terminé 6e en Laser. Le Varois, qui visait une médaille pour ses 4e Jeux après une 5e place en 2016 à Rio, avait parfaitement entamé sa semaine en remportant la première régate dimanche dernier, avant d'enchaîner des résultats en dents de scie. Il termine finalement à 7 points de la 3e place. L'Australien Matt Wearn, assuré du titre avant même l'ultime manche, devance le Croate Tonci Stipanovic et le Norvégien Hermann Tomasgaard. Alexandra Tavernier en finale du lancer du marteauEn athlétisme, en ce jour de finale du 100 m messieurs, Alexandra Tavernier s'est qualifiée pour la finale du lancer du marteau. Sous une chaleur de plomb 31°, 93% d'humidité malgré un concours débuté à 9h10 du matin, la vice-championne d'Europe a eu la bonne idée de ne pas s'éterniser dans le stade olympique et a validé son ticket pour la finale de mardi à sa deuxième tentative avec un jet à 73,51 m, la qualification étant fixée à 73,50 m. Les volleyeurs en quartsHéroïques face au Brésil, les Bleus ont offert au volley français le premier quart de son histoire olympique, une qualification acquise en arrachant deux sets au Brésil, le champion de Rio, vainqueur 3-2 25-22, 37-39, 25-17, 21-25, 20-18. Les Bleus, qui ont eu quatre balles de match entre les mains, auraient même pu l'emporter et se donner la chance d'éviter la Pologne comme prochain adversaire, mais le plus important est sauvé. Le rêve de médaille olympique de la bande d'Earvin Ngapeth, survolté dimanche 29 points, vit toujours, même s'il va se heurter mardi 3 août aux doubles champions du monde polonais, favoris pour le titre olympique. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info
LOSC: les Dogues réalisent une performance plus vue depuis presque 30 ans ! Lille a réalisé un début de match plus que canon lors de

Fonctions et inéquationsExplications étape par étape1 D'après ton énoncé, tu as Cx = x^3 -60x²+1500x+2000Le logiciel te dit que x-20^3 = x^3 - 60x² + 1200x - 8000 tu n'es pas loin de Cx. En comparant, tu vois que pour arriver à Cx, il faudrait rajouter 300x et 10000. Donc Cx = x-20^3 + 300x + 10 000 donc a = 300 et b=10 0002 Tu sais que chaque canapé est vendu 1200€ donc x canapés rapportent 1200x €.Or le bénéfice, c'est l'argent que tu obtiens à la fin de la journée, une fois que tu as tout remboursé donc c'est-à-dire l'argent que tu as gagné grâce aux ventes moins l'argent que tu as perdu en fabriquant les objets tu sais que pour x canapés, ça te rapporte 1200x par la vente mais ça te coûte Cx. Donc Bx = 1200x - Cx = 1200x - x^3 -60x²+1500x + 2000 = -x^3 - 60x² -300x - 2000Ca ressemble pas vraiment à ceux qu'on te demande dans la consigne...Tu prends le résultat et développes-le10-xx²-50x-200 = 10x²-500x-2000 -x^3 +50x²+200x = -x^3 +60x²+300x-2000Exactement pareil qu'au-dessus donc Bx est bien égal à ce Pour le tableau de signes, il faut voir pour quelle valeur de x, on a un résultat positif et pour quelle valeur on a un résultat 10 x²-50x-2000 soit tu regardes le tableau de signes. Là où tu mets des + et tes -, calcules pour chaque borne le résultat que cela te donnerait. Dès que le résultat est supérieur à 0, cela veut dire que tu as assez de canapés pour faire des Si tu as d'autres questions, n'hésites pas ;

Natation Interview. Gary Hunt est pilote de l’air. Pas de ceux qui portent le treillis ou conduisent des avions de chasse. Non, de ceux qui manœuvrent l’apesanteur comme personne. Huit fois Champion du Monde de haut-vol, le plongeur de 37 ans maitrise sa peur et domine sa discipline. Ou l’inverse.
Vainqueur à Sotchi-2014, disqualifié en 2017 le bob Russie-1 / AFP Le Comité international olympique CIO a sanctionné lundi cinq nouveaux Russes dont deux champions olympiques de bobsleigh à 4 à Sotchi en 2014, sur la base des conclusions des auditions de la Commission Oswald sur les sportifs impliqués dans le scandale de dopage d'Etat en Negodailo et Dimitri Trunenkov ont été disqualifiés et ont vu leurs résultats aux JO-2014 annulés, comme l'avaient déjà été vendredi dernier ceux de leur équipe de bobsleigh à 4, dont la star Aleksandr Zubkov. Lundi, le CIO a également disqualifié les biathlètes Yana Romanova et Olga Vilukhina, médaillées d'argent, ainsi que le skeletoneur Sergei Chudino. Ces nouvelles sanctions interviennent à huit jours d'une réunion cruciale de la Commission exécutive du CIO qui doit se prononcer le 5 décembre sur la participation ou non de la Russie aux prochains jeux Olympiques d'hiver de CIO avait déjà sévi la semaine dernière en sanctionnant des fondeurs, dont Alexander Legkov champion olympique du 50 km à Sotchi-2014 ainsi que des champions olympiques et médaillés en le début des sanctions prononcées par le CIO, la Russie a perdu au total onze médailles, dont quatre en or sur les treize remportés sur le terrain en février Russes, qui avaient terminé les JO-2014 en tête du tableau des médailles, ont du coup été dépassés par la Norvège 11 titres.Au total, le CIO a sanctionné 19 sportifs russes dans le cadre de ces auditions de la commission Oswald, mise en place par l'instance olympique après la révélation d'un dopage d'Etat dans le sport russe par le rapport McLaren, publié en juillet sanctions pourraient la Fédération russe de bobsleigh avait jugé que les décisions du CIO sont dues à "un escroc" et discuter avec le CIO "n'est possible que dans un tribunal".La commission d'enquête présidée par le Suisse Denis Oswald, ex-président de la Fédération internationale d'aviron, membre de longue date du CIO et avocat de profession, a été mise en place après la publication du rapport du juriste canadien Richard McLaren. Ce dernier a établi en juillet 2016 l'existence d'un dopage institutionnalisé en Russie, impliquant Moscou et les services secrets russes FSB, notamment lors des JO-2014 à quatre pilotes de skeleton avaient été sanctionnés dont Alexander Tretiakov, champion olympique à Sotchi, et ainsi privé de son la Fédération internationale de bob et skeleton IBSF a annoncé que ces autres sportifs étaient provisoirement suspendus de la Coupe du La décision "Legkov" publiée -Ce n'est pas le cas des six fondeurs russes bannis à vie par le CIO, dont Alexander Legkov champion olympique du 50 km à Sotchi-2014, Alexey Petukhov champion du monde en 2013 et Maxim Vylegzhanin triple médaillé d'argent olympique en 2014 et champion du monde en 2015. La Fédération internationale de ski FIS avait indiqué jeudi que ces six fondeurs étaient autorisés à s'aligner provisoirement en Coupe du monde, ce qui a déclenché de vives réactions d'une partie de leurs FIS avait motivé sa décision en déclarant être "obligée d'attendre la remise des conclusions de la commission de discipline du CIO et les preuves, avant de pouvoir prendre d'autres mesures".Vendredi, le CIO avait répliqué en expliquant que "toutes les fédérations internationale concernées par des cas traités par la Commission de discipline ont reçu les preuves ... et ont eu l'opportunité de prendre part aux auditions".Lundi, comme il s'y était engagé, le CIO est allé plus loin en publiant les motivations de la décision de la Commission Oswald, concernant la suspension de Legkov."La participation de l'athlète dans le programme de dopage est établie", a jugé la Commission dans ses attendus. Son nom figure dans la liste des athlètes protégés et des "marques" de manipulation ont été découvertes sur ses deux échantillons d'urine, ajoute la Commission."La preuve que ces échantillons ont été manipulés constitue une preuve directe et objective de l'implication de l'athlète dans le programme" de dopage, juge-t-elle "l'athlète Legkov figure parmi les athlètes" pour lesquels le Dr Grigory Rodchenkov, ex-patron du laboratoire antidopage de Sotchi, "a apporté des éléments de preuve supplémentaires".

Bonjour! j'aimerai réaliser un classement à l'aide d'une table mysql voici ma structure de table : table classement (saison, equipeid, id_rencontre, num_journee, equipe, score)c'est pour un classement de tennis de table mais je vais changer ça ici pour faire avec du foot (ça va peut etre, être mieux compris :D)

Depuis leur renaissance à la fin du XIXe siècle, les Jeux Olympiques sont devenus la plus importante manifestation de dimension planétaire et assurément la plus médiatique, ce qui les place au centre d'enjeux politiques et économiques majeurs, parfois sombres et tragiques. Ces enjeux existaient déjà dans la Grèce antique avec les premiers Jeux, tout comme les problèmes liés à la corruption et à l'argent. Ainsi Athènes et ses alliés excluèrent-ils Sparte de la participation aux Jeux de 424 av. en raison de la guerre du Péloponnèse. Voici ci-après un survol de toutes les olympiades de l'ère moderne, d'Athènes 1896 à Rio 2016... Beauté du sport Les premiers Jeux se suivent avec un succès croissant qui va de pair avec la montée des classes moyennes en Occident et la découverte des loisirs et du sport. L'apparition de la télévision contribue aussi à leur popularité. Les deux guerres mondiales occasionnent deux longues coupures. 1896 Athènes Très modestes et quasiment confidentiels, les premiers Jeux de l'ère moderne accueillent 241 participants de 14 nations, les plus nombreux venant de Grèce, Allemagne, France et Grande-Bretagne. La cérémonie d'ouverture n'en recueille pas moins un grand succès d'estime dans le stade antique d'Athène reconstruit pour l'occasion. Le héros du jour est un berger grec du nom de Spiridon Louis 24 ans qui remporte l'épreuve du marathon, soit une course de 40 kilomètres entre l'antique champ de bataille de Marathon et le stade d'Athènes. Cette épreuve inédite rappelle l'exploit de Philippidès. À l'occasion des Jeux de Londres, en 1908, sa distance sera portée à 42,195 kilomètres afin que les coureurs puissent partir de la cour du château royal de Windsor. 1900 Paris Croyant bien faire, le baron de Coubertin a souhaité associer cette deuxième édition à l'Exposition universelle du siècle, à Paris, en croyant que leur visibilité s'en trouvait rehaussée. Bien au contraire, ils apparaissent comme une compétition en périphérie de l'exposition, dans le bois de Vincennes. C'est au point que l'on supprime même la cérémonie de clôture. Ces Jeux permettent toutefois d'assister aux premières compétitions féminines tennis, golf, voile... en dépit des préventions du baron de Coubertin. 1904 Saint-Louis Les organisateurs reproduisent la même erreur que précédemment en associant les Jeux à l'Exposition universelle de Saint-Louis Missouri qui célèbre le centenaire de l'achat de la Louisiane par les États-Unis. 1908 Londres Les Anglais se voient attribuer les Jeux après la défection des Italiens, affectés par une éruption du Vésuve. Organisés à la hâte, ils se déroulent à la perfection. Le vainqueur du marathon, Dorando Pietri, termine la course très largement devant ses concurrents, en 2h54, mais il est disqualifié pour avoir été aidé dans les derniers mètres. 1912 Stockholm Parfaitement organisés, ces IVe Jeux témoignent de l'arrivée à maturité de la manifestation. Les épreuves sont commentées en direct par une sonorisation et les courses bénéficient d'un chronométrage électrique. 1920 Anvers Ces Jeux sont organisés à Anvers en hommage aux souffrances endurées par les Belges pendant la Grande Guerre. Les vaincus en sont exclus Allemagne, Autriche, Hongrie, Turquie, Bulgarie. C'est la première décision de caractère politique dans l'Histoire de l'olympisme moderne. Le rituel olympique se met en place avec le serment prêté par les athlètes et les juges et le drapeau aux cinq anneaux entrelacés qui reprend les couleurs de tous les drapeaux du monde. 1924 Paris Pour la deuxième et dernière fois du siècle, les Jeux sont organisés à Paris. Ils recueillent un grand succès malgré le pugilat entre spectateurs à l'issue du match de rugby France-États-Unis. Les organisateurs se dotent d'une devise latine Citius, altius, fortius» Plus vite, plus haut, plus fort». Un champion américain de natation fera rêver toutes les femmes longtemps encore après les Jeux. Il a nom Johnny Weissmuller mais est resté plus connu sous celui de... Moi Tarzan, Toi Jane». 1928 Amsterdam Vainqueurs du triple saut et du 200 mètres brasse, deux Japonais sont les premiers Asiatiques à remporter des épreuves olympiques. 1932 Los Angeles C'est la crise ! Les Jeux se déroulent sur 16 jours au lieu de plus de 79 jours précédemment. Les athlètes sont en nombre réduit mais réalisent de bonnes performances. Les spectateurs sont au rendez-vous et pour la première fois, la manifestation génère des profits pas moins d'un million de dollars. 1936 Berlin Trois ans après son arrivée au pouvoir et un an après le vote de lois antisémites, Hitler veut faire des Jeux une illustration de la supériorité de l'idéologie nazie et de l'Allemagne. C'est la première fois que les Jeux sont ouvertement instrumentalisés par un régime politique, en l'occurence le pire qui soit. De fait, les compétitions se déroulent selon un cérémonial rigoureux. Une cinéaste au service de Hitler, Leni Riefenstahl, va en tirer un film de propagande d'une grande qualité esthétique Les Dieux du stade 1938. Deux athlètes vont néanmoins éclairer ces Jeux d'une lumière inattendue. Le premier est le Noir étasunien Jesse Owens qui remporte pas moins de quatre médailles d'or sur le 100 mètres, le 200 mètres, le 4x100 mètres et la longueur. Sur cette dernière épreuve, son concurrent est un Allemand qui ne craint pas de fraterniser avec lui sur le sautoir. Ensuite, en tant que vainqueur, Jesse Owens est amené à saluer le Führer de loin et celui-ci lui rend son salut en agitant la main une légende a posteriori voudra qu'il ait préféré quitter la tribune plutôt que lui serrer la main. Jesse Owens rappellera avec amertume dans ses Mémoires qu'il n'était pas mieux traité dans l'Amérique de la ségrégation qu'en Allemagne. Le deuxième héros des Jeux est le Coréen Son Ki-chong qui remporte le marathon. Officiellement enregistré dans la délégation du Japon, qui occupe la Corée, il dédie néanmoins sa victoire à son pays. 1948 Londres Après la Seconde Guerre mondiale, l'honneur des Jeux revient naturellement aux Anglais qui ont joué un rôle déterminant dans la victoire sur le nazisme. 59 nations y participent mais l'Allemagne et le Japon en sont exclus. La révélation sportive est un Américain, Bob Mathias, qui remporte le décathlon et devient à 17 ans le plus jeune médaillé masculin de l'Histoire. Les femmes s'attirent aussi beaucoup de succès. Elles sont 390 à côté de 3714 hommes, de quoi faire se retourner le baron de Coubertin dans sa tombe. 1952 Helsinki Ces Jeux parfaitement organisés voient l'entrée en scène, pour la première fois, de l'URSS. Absente des compétitions depuis la Première Guerre mondiale, l'Union Soviétique comprend l'intérêt de cette tribune sportive à vocation planétaire. Elle va désormais y prendre une part très active en ayant soin de fournir à ses ses athlètes amateurs» une préparation intensive dans le cadre de l'armée. La Tchécoslovaquie, satellite» de l'URSS, est à l'honneur avec la triple performance d'Emil Zátopek 30 ans, qui remporte le 5000 mètres, le 10000 mètres et le marathon. Aux Jeux précédents de Londres, il avait déjà gagné le 10000 mètres. Le jour de sa victoire sur 5000 mètres, son épouse Dana s'offre quant à elle une médaille d'or au javelot. 1956 Melbourne Melbourne innove à bien des égards. C’est la première fois que les Jeux se déroulent dans l’hémisphère sud et c’est aussi la première fois et la seule à ce jour que des Jeux d’été sont scindés en raison d’une quarantaine très stricte interdisant quasiment aux chevaux d’entrer sur le territoire australien, les épreuves équestres se sont déroulés à Stockholm du 10 au 17 juin, alors que Melbourne accueille les autres sports à la fin de l’automne. Autre première» lors de la cérémonie de clôture, les athlètes de tous les pays défilent ensemble et non par pays. Une manière de faire oublier le boycottage de certains pays et d'éviter des rixes comme à l'occasion de la finale de water-polo entre Soviétiques et Hongrois. Ces boycottages sont aussi une première» et témoignent de l'aggravation des tensions internationales dans un contexte de décolonisation et de guerre froide. En raison de l’intervention franco-britannique sur le canal de Suez, l’Égypte, le Liban et l’Irak ont refusé d’y participer. Et pour protester contre l’intervention soviétique à Budapest, l’Espagne, la Suisse et les Pays-bas n’ont pas envoyé d’athlètes à Melbourne. Sans oublier la République populaire de Chine qui s’est abstenue en raison de la présence de Taïwan. Les Français gardent le souvenir éblouissant de la victoire d'Alain Mimoun 35 ans au marathon. Cet ancien caporal-chef d'origine kabyle avait failli être amputé d'une jambe à l'issue de la bataille du Mont Cassin, en 1944. La veille du marathon, il apprend que son épouse vient d'accoucher. Parti avec le maillot 13, il l'emporte en 2h25 sur son rival et ami Zatopek... 1960 Rome Ces Jeux qui se déroulent dans le cadre majestueux de la Rome antique sont à proprement parler les derniers de l'ère européenne». La même année, de nombreux pays d'Afrique noire accèdent à l'indépendance. Par une coïncidence intéressante, le marathon, épreuve reine des Jeux, est remporté cette année-là par un Éthiopien, Abebe Bikila, le premier Africain à gagner une médaille d'or. Ce coureur aux pieds nus, inconnu de tous, prend son envol devant l'obélisque d'Axoum qui rappelle la conquête de l'Éthiopie par l'Italie ! Dans la nuit, sous la lumière des projecteurs, il arrive triomphal au terme de la course, devant l'arc de Constantin. L'autre révélation des Jeux de Rome est un boxeur afro-américain, Cassius Clay 18 ans, médaille d'or des poids mi-lourds. De retour chez lui, il se voit empêché d'entrer dans un restaurant chic réservé aux Blancs et de dépit jette sa médaille dans l'Ohio. Devenu un champion de boxe célébrissime, il se convertit en 1965 à l'islam radical et prend le nom de Mohamed Ali. Son itinéraire porte témoignage de la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis. Douloureuse transition vers un monde multipolaire Pour la première fois, en 1964, les Jeux Olympiques se déroulent sur le continent asiatique, dans un pays non blanc, et qui plus est chez l'un des vaincus de la Seconde Guerre mondiale, le Japon. À l'heure de la décolonisation et de la montée du tiers-monde, il s'agit d'un symbole chargé de sens. Tellement que dès les éditions suivantes, la politique va faire irruption dans les Jeux, de façon généralement violente .... Publié ou mis à jour le 2021-07-25 081225

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