Unretour qui tranche avec le départ du Briochin, parti de Bretagne trois ans plus tôt dans la plus grande discrétion pour réaliser son rêve: effectuer un tour du monde avec son petit voilier sans technologie sophistiquée, sans matériaux hors de prix, qui lui a coûté environ 4.000 euros. Derrière son épaisse barbe et ses vêtements délavés, le navigateur ne peut se défaire de

Publié le 21/07/2021 à 1748, Mis à jour le 22/07/2021 à 0840 Lucie Malchirand en août 2019 à Carnoustie, Écosse. Mark Runnacles/R&A/R&A via Getty Images La jeune Cassidaine a presque tout gagné en amateur. Invitée à l'Amundi Evian Championship, elle vise l'excellence chez les à jouer la Champions Course d'Évian chez les jeunes, Lucie Malchirand 18 ans, talentueuse néoprofessionnelle, profite d'une wild card pour s'aligner dans le tournoi FIGARO. – Pour commencer, peut-on vous parler du baccalauréat ?Lucie MALCHIRAND. – Vous pouvez le faire car cela s'est très bien passé ! J'ai eu mon bac S avec mention très bien. Ma mère est très mai, vous êtes devenu la première Française amateur à remporter un tournoi professionnel du Ladies European Tour…J'avais prévu de rester amateur encore un an et demi au moins. Je prévoyais de jouer les championnats du monde amateurs qui auront lieu en France en 2022, NDLR, et peut-être de retourner jouer à Augusta… Mais après la victoire en Italie, j'ai eu accès à une catégorie de jeu et des opportunités que je ne pouvais pas lire aussiLET Lucie Malchirand remporte l'Open d'ItalieLe statut professionnel change-t-il votre vie ?Ma vie n'a pas changé du tout au tout. Le statut pro ne diffère pas tant que ça du statut amateur au quotidien, sinon que je vais maintenant pouvoir encaisser les dotations financières qui me reviennent, ce que je n'avais pas pu faire à l'US Open l'an dernier. Après, quand je regarde mon nouveau calendrier, il est vraiment incroyable. Cela donne envie !Sentez-vous une pression supplémentaire sur vos épaules ?Franchement, non. Au contraire. J'ai réussi de bonnes performances quand il y avait une couverture médiatique chez les amateurs. Quand j'ai joué l'US Open, il y avait des tours télés sur tous les trous et c'est ce qui m'a fait prendre conscience de ce que je vivais à ce moment-là Hé meuf, t'as vu les télés partout ? T'es à l'US Open ! » Ça te met dans le truc, tu as encore moins envie de rater un coup et tu ne veux surtout pas t'énerver parce que sinon, tu as l'air d'une débile !Vous avez reçu une invitation de l'Amundi Evian Championship, comment vous êtes-vous préparée à votre premier tournoi majeur en tant que proette ?L'an dernier, quand j'ai joué l'US Open en tant qu'amateur, j'étais beaucoup dans la découverte. J'observais comment les filles se préparaient sur place, dans quelle ambiance et avec quel stress. C'est différent à Évian car il y a du public, cette fois. C'est un paramètre qui m'excite et me fait bien jouer. Je me suis préparée mentalement à ça. J'ai joué en Angleterre puis je suis rentrée chez moi pour être dans mon élément. Je suis arrivée quatre jours avant à Évian afin de pouvoir reconnaître le parcours dans de bonnes conditions, même si je commence à pas mal le maîtriser, compte tenu du nombre d'années que je le joue…Vous étiez venue au Jabra Ladies Open début juin avec cette idée ?Pour moi, le Jabra Ladies Open a été une super expérience. J'ai pu évoluer sur ce parcours préparé comme pour le Majeur, depuis les back tees et avec des greens plutôt rapides et fermes. Le Jabra a eu lieu la semaine qui suivait ma victoire en Italie, donc c'était un peu spécial. J'étais en train de retomber de mon petit nuage. J'avais un million de trucs à lire aussiJabra Ladies Open Lucie Malchirand, en vraie professionnelleQuels sont les pièges de la Champions Course ?Ouhlala, les greens déjà ! Ils sont immenses, avec des plateaux partout et des pentes… Le parcours est long et les mises en jeu serrées. Il faut rater au bon endroit pour se laisser un coup derrière. Les roughs sont vraiment est votre objectif cette semaine ?Clairement, mon objectif est de passer le cut. Et je veux pouvoir donner tout ce que j' allez pouvoir vous appuyer sur un caddie…C'est cool d'avoir quelqu'un qui m'aide. Il s'agit de Mickaël Mahéo, qui était responsable du pôle France Girls. Il m'accompagne depuis que je suis petite. Je pense que cela peut très bien marcher tous les venez également d'intégrer l'Amundi Team, une nouvelle structure ?C'est un honneur d'avoir été contactée deux jours après mon passage chez les pros et de pouvoir travailler au sein de ce groupe lors des deux prochaines années. Les filles de l'équipe sont super cools. Je connais un petit peu les étrangères que j'ai croisées sur le Tour, beaucoup mieux Camille Chevallier qui est lire aussiAlain Berry Amundi s'engage aux côtés des femmes»Le champ de joueuses de l'Amundi Evian Championship comporte des stars. Quel regard portez-vous sur Nelly Korda, Inbee Park ou Lydia Ko ?Ma joueuse préférée est Nelly Korda. À l'US Open, j'étais au practice à côté d'elle et j'étais traumatisée à l'idée de faire une gratte » et qu'elle dise C'est qui cette joueuse ? ». Cela fait quelque chose de jouer avec des filles qu'on suit sur Instagram et qu'on regarde à la télé, j'avoue… Ce n'est que du positif et de l'expérience en représente la LPGA pour vous ?C'est ce à quoi j'aimerais accéder le plus rapidement possible. Depuis toute petite, je rêve de devenir no 1 mondiale et de jouer sur le circuit américain. Je ne veux pas rester longtemps sur le LET. Le futur du golf féminin est aux États-Unis. C'est là-bas que jouent les meilleures et que sont les sponsors. C'est clairement mon objectif.

Maisc'est l'arrivée aux îles Marquises qui l'a profondément marqué. "J'ai tellement rêvé de ces îles que je ne savais pas si je vivais la réalité ou si c'était un rêve", explique-t-il, pensif. Ses souvenirs feront l'objet d'un récit, "Le Tour du monde avec mon Baluchon", qui sera publié le 10 novembre aux éditions du Cherche Midi. La révolution écolo dans son jardin 001654 La révolution écolo dans son jardin 001748 Certaines chansons font parfois le tour du monde. C’est le cas par exemple de la chanson C’est si bon » créée en France en 1947 et reprise par de nombreux artistes à travers la planète. On vous raconte l'histoire de ces chansons françaises qui ont fait le tour du monde avec notre invité Jean-Pierre Pasqualini, directeur des programmes de la chaîne Mélodie TV. Quelles sont les chansons françaises qui se sont le plus exportés à l'étranger ? Quel français a créé et imaginé la chanson '' C'est si bon '' ? Qui est le premier artiste à l'avoir interprété ? Comment Louis Armstrong va-t-il découvrir cette chanson ? Comment '' La javanaise '' de Serge Gainsbourg a-t-elle été popularisé à l'étranger grâce à une '' James Bond girl '' ? Notre invité nous raconte également l'histoire de la chanson '' Un an d'amour '' de Nino Ferrer, qui a voyagé dans le monde entier avant de faire partie de la bande originale du film de Pedro Almodovar '' Talons aiguilles '' en 1991. à voir Musée en ligne de la SACEM. La Curiosité vous recommande Birkin et Gainsbourg L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info Partirpour un tour du monde, beaucoup en rêvent, peu en ont le temps et les moyens. Pour ces voyageurs dans l'âme, deux opportunités pointent à l'horizon : l'agence de voyages sur mesure
Trends Style interviewe régulièrement un entrepreneur à succès concernant le travail et la vie. Cette semaine Anton Janssens, co-inspirateur de la marque d'accessoires KOMONO. "Peut-être finirai-je un jour dans un monastère." Le label jeune et branché de lunettes de soleil et de montres KOMONO a la cote. Bien que la marque soit désormais mondialement réputée, ses racines sont indéniablement belges. C'est ici que le tandem en affaires Raf Maes et Anton Janssens ont créé 'leur' KOMONO en 2009 et ont conféré l'identité stricte et minimaliste à la marque et pour laquelle elle est aujourd'hui reconnue. Ça ressemble à quoi de diriger une société qui a déferlé à toute vitesse dans l'univers de la mode. Entretien avec Anton vous habillez-vous pour votre travail ?Anton Janssens "Je suis très actif au travail. Quand je ne supervise pas les designs avec l'équipe de production, j'ai des rendez-vous avec des points de vente potentiels. Pour moi, une journée de travail ordinaire, ça n'existe pas. Avec ce style de vie, le confort de vêtements irréprochables mais casual convient. Une marque comme COS y correspond entièrement les vêtements ont l'air bien sans être très sensibles aux tendances.""J'ai ensuite aussi un penchant pour les vêtements des stylistes belges. Je retrouve tellement de personnalité et de détails subtils dans le design de Raf Simons ou Bruno Pieters. Et bien sûr, je porte toujours une montre de KOMONO." riresComment combinez-vous travail et vie privée ?"Ma vie professionnelle est entièrement sous le signe de la recherche d'un équilibre esthétique entre design, innovation et minimalisme, donc bien sûr, je prolonge aussi cette quête d'équilibre dans ma vie privée. J'ai une femme et deux enfants, je dois donc bien m'adapter. Parfois, je travaille le week-end, mais parfois je vais aussi à un concert un mardi soir."Êtes-vous parfois sciemment offline ?"Oui, c'est très important. Personne ne peut être créatif ou productif une journée entière. Si vous essayez tout de même de l'être, vous perdez votre focus. Vous pouvez en rire, mais j'ai un potager à la maison et cela a un effet très apaisant. Cela me donne de la satisfaction, de voir pousser une courgette que j'ai plantée moi-même. Leur goût n'est également pas mauvais !Quel est le luxe ultime, pour vous ?"Pour moi, le temps est un luxe incroyable, l'idée que je puisse faire tout ce que je veux, quand je le veux. Diriger une entreprise à croissance rapide comme KOMONO implique que je suis sous pression la plupart du temps. Je vis d'échéance en échéance et cela a parfois son prix. Ne me comprenez pas mal, j'aime ce que je fais et je n'échangerais ce job contre rien d'autre, mais parfois je rêve de prendre une année sabbatique et de faire le tour du monde avec ma famille."Quel est le but le plus élevé que vous désirez atteindre dans la vie ?"Je ne sais pas si cela existe, mais trouver un endroit où je suis heureux à 100% serait un vrai exploit. Peut-être finirai-je un jour dans un monastère, qui sait." rires"La gestion de KOMONO contribue à ce bonheur. Quand je vois combien notre équipe et nos partenaires sont motivés, cela me donne beaucoup d'énergie. J'en ai besoin pour continuer à progresser. Nous sommes ambitieux et mettons la barre extrêmement haut, tant sur le plan du design que du côté business. Je trouverais cela fantastique de réaliser ces ambitions, mais pouvoir partager l'ensemble du processus avec d'autres personnes est aujourd'hui déjà gratifiant."Comment parvenez-vous à retirer de la satisfaction de votre travail ?"Je suis fasciné par la culture comment les artistes composent la musique et font de l'art, par exemple. Comment cet art trouve ensuite une place dans notre style actuel. Chez KOMONO, nous utilisons cela comme inspiration et nous l'assimilons dans nos lunettes et nos montres. Si vous recevez par la suite un feedback positif sur une nouvelle collection ou sur un lookbook, c'est une des plus grandes joies qui existent."Quelle est la leçon de carrière ou la leçon de vie la plus précieuse que vous avez reçue ?"Si vous voulez quelque chose, vous devez travailler pour. Nothing comes for free. Et aussi qu'il ne faut pas avoir peur de faire des erreurs, tant que vous ne les faites pas deux fois. Ces deux règles sont des mantras pour moi. Beaucoup de personnes ont de grands rêves, mais si vous ne vous y mettez simplement pas, il n'y aura également rien qui se réalisera. Atteindre quelque chose n'est jamais simple, et je vois des gens qui font la liste des obstacles potentiels. Cela ne m'a jamais arrêté. Prenez cette décision, commencez à travailler à votre projet de rêve, apprenez les leçons des erreurs que vous faites et move on.' Le label jeune et branché de lunettes de soleil et de montres KOMONO a la cote. Bien que la marque soit désormais mondialement réputée, ses racines sont indéniablement belges. C'est ici que le tandem en affaires Raf Maes et Anton Janssens ont créé 'leur' KOMONO en 2009 et ont conféré l'identité stricte et minimaliste à la marque et pour laquelle elle est aujourd'hui reconnue. Ça ressemble à quoi de diriger une société qui a déferlé à toute vitesse dans l'univers de la mode. Entretien avec Anton Janssens "Je suis très actif au travail. Quand je ne supervise pas les designs avec l'équipe de production, j'ai des rendez-vous avec des points de vente potentiels. Pour moi, une journée de travail ordinaire, ça n'existe pas. Avec ce style de vie, le confort de vêtements irréprochables mais casual convient. Une marque comme COS y correspond entièrement les vêtements ont l'air bien sans être très sensibles aux tendances.""J'ai ensuite aussi un penchant pour les vêtements des stylistes belges. Je retrouve tellement de personnalité et de détails subtils dans le design de Raf Simons ou Bruno Pieters. Et bien sûr, je porte toujours une montre de KOMONO." rires"Ma vie professionnelle est entièrement sous le signe de la recherche d'un équilibre esthétique entre design, innovation et minimalisme, donc bien sûr, je prolonge aussi cette quête d'équilibre dans ma vie privée. J'ai une femme et deux enfants, je dois donc bien m'adapter. Parfois, je travaille le week-end, mais parfois je vais aussi à un concert un mardi soir.""Oui, c'est très important. Personne ne peut être créatif ou productif une journée entière. Si vous essayez tout de même de l'être, vous perdez votre focus. Vous pouvez en rire, mais j'ai un potager à la maison et cela a un effet très apaisant. Cela me donne de la satisfaction, de voir pousser une courgette que j'ai plantée moi-même. Leur goût n'est également pas mauvais !"Pour moi, le temps est un luxe incroyable, l'idée que je puisse faire tout ce que je veux, quand je le veux. Diriger une entreprise à croissance rapide comme KOMONO implique que je suis sous pression la plupart du temps. Je vis d'échéance en échéance et cela a parfois son prix. Ne me comprenez pas mal, j'aime ce que je fais et je n'échangerais ce job contre rien d'autre, mais parfois je rêve de prendre une année sabbatique et de faire le tour du monde avec ma famille.""Je ne sais pas si cela existe, mais trouver un endroit où je suis heureux à 100% serait un vrai exploit. Peut-être finirai-je un jour dans un monastère, qui sait." rires"La gestion de KOMONO contribue à ce bonheur. Quand je vois combien notre équipe et nos partenaires sont motivés, cela me donne beaucoup d'énergie. J'en ai besoin pour continuer à progresser. Nous sommes ambitieux et mettons la barre extrêmement haut, tant sur le plan du design que du côté business. Je trouverais cela fantastique de réaliser ces ambitions, mais pouvoir partager l'ensemble du processus avec d'autres personnes est aujourd'hui déjà gratifiant."Comment parvenez-vous à retirer de la satisfaction de votre travail ?"Je suis fasciné par la culture comment les artistes composent la musique et font de l'art, par exemple. Comment cet art trouve ensuite une place dans notre style actuel. Chez KOMONO, nous utilisons cela comme inspiration et nous l'assimilons dans nos lunettes et nos montres. Si vous recevez par la suite un feedback positif sur une nouvelle collection ou sur un lookbook, c'est une des plus grandes joies qui existent.""Si vous voulez quelque chose, vous devez travailler pour. Nothing comes for free. Et aussi qu'il ne faut pas avoir peur de faire des erreurs, tant que vous ne les faites pas deux fois. Ces deux règles sont des mantras pour moi. Beaucoup de personnes ont de grands rêves, mais si vous ne vous y mettez simplement pas, il n'y aura également rien qui se réalisera. Atteindre quelque chose n'est jamais simple, et je vois des gens qui font la liste des obstacles potentiels. Cela ne m'a jamais arrêté. Prenez cette décision, commencez à travailler à votre projet de rêve, apprenez les leçons des erreurs que vous faites et move on.'

Unvol Cathay Pacific à destination de Hong Kong a été contraint de retourner à Manchester en raison d'un dysfonctionnement du train d'atterrissage.L'avion a décollé du troisième plus grand aéroport du Royaume-Uni à 12h34. et devait arriver à l'aéroport international de Hong Kong à 7 h 25 le lendemain matin.

Partis en solo, en couple ou en famille, les tourdumondistes» ont stoppé net leur périple et précipité le retour, en raison de la crise liée au coronavirus. prise de conscience a été brutale aux quatre coins du monde. Il a fallu rentrer, vite, laisser en plan un bout de rêve et un projet inachevé. Et pas n’importe quel projet, celui d’une vie parfois, pensé, préparé, fantasmé depuis des mois voire des années un tour du monde. Pour les voyageurs qui traçaient leur route dans l'insouciance, le Covid-19 a sonné comme un triste retour à la des frontières, restrictions des déplacements, avions cloués au sol… Autant de mesures qui ont rendu impossible toute forme de voyage. Mais ce n'est souvent que partie remise pour les tourdumondistes». Le Figaro a recueilli le témoignage de trois d'entre eux, un voyageur solo, un couple et une famille.Je rentre avec un petit goût d'inachevé», Maxime Lamand, 29 ans, animateur en colonie de vacancesJ’ai entamé un tour du monde aux sept défis» en octobre 2018. L’idée était de relever sept défis au cours de mon voyage qui aurait dû durer deux ans, comme rallier Dunkerque à Gibraltar sans argent, traverser l’Atlantique en voilier-stop» ou gravir trois sommets de plus de 5000 mètres d’altitude. Mon itinéraire m’a conduit notamment jusqu’aux Caraïbes et en Amérique centrale. En octobre 2019, j’ai quitté la Colombie pour l’Asie où j’ai visité la Corée du Sud, le Népal et l’Inde. Début mars, j’étais au Sri Lanka quand l'épidémie a commencé à devenir une préoccupation cela me paraissait loin, d'autant que le Sri Lanka n'était quasiment pas touché par le Covid-19 [seulement 148 cas recensés au 2 avril, NDLR]. Les nouvelles que je recevais de mes proches à propos de la situation en France m'ont persuadé de prendre le chemin du retour. J'ai rejoint la Turquie, un des pays que j'avais prévu de visiter avant de regagner l'Europe via Chypre. Je souhaitais m'arrêter quelques jours à Istanbul, mais les lieux publics fermaient petit à petit et tout laissait penser que le pays allait être le risque de rester bloqué plusieurs semaines en Turquie ou rentrer en France et abandonner mon voyage ? Il fallait choisir, et vite. La deuxième option me paraissait la plus raisonnable. Après une nuit passée en zone de transit, j'ai pris un vol vers Bruxelles qui ne m’a coûté que 150 €. De là, j’ai rejoint Dunkerque en train. Mon tour du monde s'est donc achevé le 18 mars avec six mois d' lire aussiFrançais bloqués à l'étranger Nous sommes rejetés par les locaux, tels des pestiférés»Je rentre avec un petit goût d’inachevé, mais je ne suis pas particulièrement attristé. Ce que le voyage m’a appris, c’est qu’il faut s’adapter aux circonstances et accepter les imprévus. Quand la situation reviendra à la normale, j’aimerais réaliser la dernière étape que je n’ai pas pu faire rallier la Roumanie à Dunkerque à vélo en empruntant l’EuroVelo 6, dite Atlantique-Mer Noire». Rentrer chez moi à vélo en retrouvant mes proches sur la ligne d'arrivée, c’est le retour que je m’étais relate son voyage sur la page Facebook Un tour du monde aux sept défis». Un deuil des destinations que nous n’avons pas pu faire en famille», Marie Elefteriou, 40 ans, partie avec son mari et leurs deux fillesMarie et sa famille avaient décollé en juillet l'an dernier pour un périple de près de treize mois. Ici en Nouvelle-Zélande, en février, sur la route du mont Cook, le plus haut sommet du pays 3724 mètres. Marie ElefteriouNotre tour du monde était un projet familial auquel nous pensions depuis plusieurs années. Il a démarré le 15 juillet dernier à Johannesburg, où nous vivons Marie Elefteriou est Française et résidente permanente en Afrique du Sud, son mari est Sud-Africain et ses deux filles de 8 et 11 ans ont la double nationalité, NDLR. Notre voyage, prévu sur 13 mois jusqu’en août 2020, devait nous mener dans une dizaine de pays au moins et sur tous les continents hors l’Afrique. Nous l’avions pensé pour avoir beaucoup de liberté à chaque étape, tout en réservant en avance certains billets d’avion, notamment auprès du spécialiste Travel aventure a commencé par la France, l’Espagne puis Madère, avant de se prolonger aux États-Unis, où nous avons sillonné l’Ouest pendant 5 semaines en camping-car. Nous avons enchaîné sur le Mexique et le Panama, une semaine à chaque fois, avant de nous envoler vers la Colombie et l’Argentine un mois et, enfin, l’Océanie. Nous sommes arrivés en Nouvelle-Zélande mi-janvier, pour un circuit de 6 semaines. Vers la fin de notre séjour, nous avons commencé à entendre parler pour la première fois de l’épidémie de coronavirus et des mesures de restrictions que prenaient certains lire aussiCoronavirus, voyage et assurance annulation êtes-vous vraiment couvert ?Nos principales sources d’information étaient un groupe privé Facebook dédié aux familles francophone autour du monde qui font le tour du globe, et le forum du site Tourdumondiste ». À ce stade nous n’étions pas inquiets. En Australie, notre destination suivante pour quatre semaines, aucun problème à grande échelle concernant le coronavirus n'était signalé. C’est aussi un pays bien doté en infrastructures de santé. De plus, nous avions souscrit une assurance spéciale pour notre tour du monde. Elle couvrait en totalité notre famille sur le plan médical ou pour un éventuel rapatriement. Enfin, nos billets d’avion pour Hongkong, prochaine étape après l’Australie, étaient échangeables. Nous étions donc plutôt lire aussiLa Nouvelle-Zélande, le paradis des antipodesArrivés à Sydney le 23 février, nous avons profité de la ville avant une étape de 15 jours dans l’ouest du pays, à Perth. Nous sommes ensuite partis vers l’est et Byron Bay pour une balade en camping-car, dans une ambiance qui commençait à se tendre sur le plan sanitaire. Les gestes barrières » se mettaient en place et, à ce stade, la distanciation sociale paraissait situation a brutalement évolué autour du 20 mars, avant de basculer en deux jours des États australiens ont annoncé leur volonté de fermer leurs frontières pour stopper la propagation du virus. Nous avons alors pris la décision de rentrer le plus rapidement possible. Nous avons rallié Sydney par avion, puis réservé le premier vol pour Johannesburg, sur la compagnie Qantas. Elle a finalement affrété un vol supplémentaire un jour avant la date prévue, et nous avons opté pour ces billets, qui nous ont coûté plus de 700 € par personne. Le prix est élevé mais, par rapport à beaucoup de familles qui voulaient rentrer depuis d’autres pays, je pense que nous nous en sommes bien lire aussiRapatriement des touristes Air France en première ligneL’ambiance était particulière dans l’avion, un Boeing 747. Nous étions seulement 40 personnes et avons rempli un questionnaire médical durant le vol. Nous avons atterri en Afrique du Sud le 26 mars, un jour avant le confinement général décrété dans le pays. Du personnel médical est venu dans l’avion prendre la température de chaque passager. Personne n’était fiévreux, et nous avons pu débarquer. Nous avons passé un second contrôle thermique dans l’aéroport, là encore satisfaisant. Je suis Française, mais mon statut de résidente permanente m’a permis de rentrer dans le pays, d'autant que l’Australie, d’où nous venions, ne figurait pas sur la liste des destinations faisant l’objet d’un confinement retour précipité nous donne des sentiments très contrastés. Bien sûr, nous sommes soulagés d’être bien rentrés vu l’ampleur de l’épidémie et les difficultés que nous aurions pu rencontrer. Au lendemain de notre retour nous sommes tous allés nous faire dépister, afin de nous rassurer. Mais il y a pour nous un vrai deuil à faire. Notre voyage en famille devait se prolonger jusqu’à la mi-août. Il y a tant de destinations que nous n’avons pas pu faire… »Nous avons quitté l'Équateur au moment de la fermeture des frontières», Julien Gares, 33 ans, et Chloé Leterre, 30 ans, éducateurs spécialisésEn septembre 2019, nous quittions l'Ariège pour entamer un tour du monde d’un an dans une dizaine de pays. Après l’Asie Népal, Malaisie, Thaïlande, Indonésie et l’Océanie Nouvelle-Zélande, Polynésie française, nous avons mis le cap vers l’Amérique du Sud Chili, Pérou, Équateur. Nous avons pris conscience de l’ampleur de l’épidémie une fois arrivés en Équateur, début mars. L’apparition du premier cas quelques jours plus tôt, le 29 février, a pris de court les autorités locales. Nous avons mis deux heures à passer les douanes équatoriennes depuis le Pérou, car des contrôles sanitaires étaient imposés aux Européens prise de température et questionnaire sur notre itinéraire ou nos éventuels symptômes.À lire aussiCoronavirus les rapatriés français sont-ils contrôlés» dans les aéroports ?En Équateur, nous avons suivi notre programme tout en nous tenant informés via nos proches et les locaux. Sur la route vers la capitale Quito, nous nous sommes arrêtés deux jours dans le Parc national Cotopaxi, où se trouve le plus haut volcan du pays. Une fois à Quito, nous avons compris qu’il était plus raisonnable de rentrer en France sans tarder. Des couvre-feux et des restrictions de déplacement commençaient à entrer en vigueur. Le voyage doit être un plaisir. Dans ces conditions, cela l'était moins. Nous avons donc renoncé à prendre notre vol vers notre prochaine étape, le et Chloé sont partis en septembre 2019 pour un tour du monde d’un an. Ici le volcan Cotopaxi 5897 m, à une centaine de kilomètres au sud de la capitale équatorienne Quito, début mars 2020. Julien et Chloé Leterre-GaresEn faisant nos recherches, nous avons trouvé des vols Quito-Paris à plusieurs milliers d’euros par personne sur Air France. Les Miles offerts par nos proches nous ont heureusement permis d’obtenir nos billets. Nous avons décollé de Quito le mardi 17 mars au matin, quelques heures seulement avant la fermeture de l’aéroport. À notre grande surprise, à notre arrivée à Paris Charles-de-Gaulle, les contrôles étaient beaucoup plus sommaires qu’à la frontière entre le Pérou et l’Équateur. Nous avons passé les douanes comme en temps normal, sans contrôle sanitaire. Comme le confinement venait d’entrer en vigueur, les douaniers nous ont simplement donné des attestations de déplacement dérogatoire. Après quoi nous avons rejoint la gare de Lyon et un train en direction de lire aussiL'Équateur, des Andes à l'AmazonieNous sommes heureux de ce que nous avons accompli et nous ne regrettons pas cette fin anticipée. Cette situation difficile, nous préférons la vivre auprès de nos proches. Nous sommes surtout tristes pour les personnes que nous avons rencontrées en Équateur et qui nous ont fait part de leur inquiétude vis-à-vis du virus. Quand la situation le permettra, nous nous promettons de découvrir les pays qui figuraient sur notre itinéraire, à savoir le Guatemala, le Mexique et couple relate son voyage sur une carte interactive sur le site Polarsteps. J1: Vol Europe / Amerique -> Hawaii, Waikiki Beach (Sa, 4 sep) La première étape de votre Tour du Monde vous amène directement à Honolulu, sur l'île d'Oahu dans l'archipel volcanique d'Hawaii du Pacifique Nord, où vous serez logés la première nuit dans un hôtel au bord de la Plage légendaire de Waikiki. Note: Si votre connexion du vol le permet, vous pourriez vous rendre Ca fait tellement longtemps que je voulais rédiger une bucket list!! Et aujourd’hui, je viens de tomber sur le cahier que je gribouillais allègrement avant de partir faire mon tour du monde. J’avais pour habitude de faire des listes et des listes de pays que je voulais visiter, des lieux que je voulais voir absolument, des expériences que je voulais vivre, de choses que je voulais apprendre etc. Bref, je couchais sur papier tous mes rêves, mes envies, mes objectifs. Avec cette conscience qu’on a qu’une vie, que celle-ci passe très vite et qu’il faut en profiter pleinement, en cessant de se mettre des limites, en dépassant ses peurs, en trouvant la force et le courage en soi pour réaliser ses rêves, pour ne rien quoi une bucket list?Une bucket list, c’est donc cette petite liste de choses que vous rêvez de faire dans votre vie et que vous aimeriez avoir fait avant de mourir. Ca permet parfois de se retourner sur le chemin parcouru quand on n’a pas le moral, de se fixer des objectifs ou un but dans la plus qu’une série de cases à cocher, qui n’est finalement pas une fin en soi, elle revêt pour moi une double importance. Elle me rappelle d’une part, que j’ai des rêves encore plein la tête, des buts à poursuivre, des objectifs à atteindre. Quand je me sens perdue, elle me permet de retrouver le chemin ou la direction à prendre. Mais elle m’aide aussi, quand le doute s’installe, que les angoisses viennent me titiller ou la confiance me faire défaut, à me retourner sur le chemin déjà parcouru et de réaliser que je peux être fière de ce que j’ai déjà accompli ! Car j’ai eu le courage de prendre ma vie en main, de choisir ma liberté et de vivre la vie dont j’ai envie. Et pour rien au monde, je ne souhaiterais revenir en arrière!Ma bucket list toutes les choses que je veux faire ou voir avant de mourir!MAJ en décembre 2021Une telle liste de rêves est personnelle, mais je me sens enfin prête à vous la montrer !Allez, c’est parti, voici ma bucket list. Je réalise qu’en fait, il va me falloir 3 vies !Sports /AventuresFaire un trek dans la chaîne de l’HimalayaFaire l’ascension du Mont BlancFaire un tour en hélicoptèreFaire du saut à l’élastique DONE !Faire du parapente DONE !Faire du surf DONE !Sauter en parachute DONE !Faire du raftingFaire du canyoning DONE !Marcher sur un glacier DONE !Faire un trek de survie dans la jungleFaire de la Via Ferrata DONE !Faire de la montgolfièreFaire de la plongée DONE !Faire de la boxe en ThaïlandeMarcher sur un volcan actif DONE !Faire de la capoeira DONE !ExpériencesTout plaquer pour faire le tour du monde DONE !Faire un tour d’Europe en van aménagéAller à l’aéroport et prendre un vol au hasardConduire à gauche DONE !Vivre plusieurs mois dans un pays étranger DONE !Me retirer plusieurs semaines dans un ashram en IndeRouler sur la route 66 DONE !Traverser le Canada en trainPasser un Noël à New-YorkVoyager en vanDormir à la belle étoileDormir dans un hamac dans la jungle DONE !Voyager à bord d’un cargoFaire un road-trip aux Etats-Unis DONE !Faire un road-trip en Afrique DONE !Faire un road-trip en Nouvelle-Zélande DONE !Faire un road-trip dans les BalkansFaire un road-trip en motoPrendre le Transsibérien de Moscou à Pékin PRESQUE De Pékin à Oulan-Bator!Dormir dans un iglooDormir dans une yourte DONE !Faire du Woofing DONE !Faire du volontariat humanitaireFaire du Couchsurfing DONE !Parcourir les steppes mongoles à cheval DONE !Parcourir un pays en stop DONE !Danser la salsa en Colombie DONE !Écouter un concert de musique tzigane dans les BalkansVoir un coucher et un lever du soleil dans le désert DONE !Voir une aurore boréaleFaire à un safari en Afrique DONE !Voir des lions en liberté DONE !Voir des manchots en liberté DONE !Voir des orangs-outans dans la jungle DONE !Aller au Carnaval de RioCélébrer la Saint Patrick en IrlandeCélébrer la fête de la bière à Munich DONE !Assister à la floraison des cerisiers au JaponVoir des baleines DONE !Assister à des Jeux OlympiquesFaire du chien de traîneauVoir des kangourousFlotter dans la mer morte DONE !Aller en AntarctiquePasser Noël à Ushuaïa DONE !Nager avec des dauphinsAssister à un spectacle de flamenco en AndalousieNager avec des tortues DONE !Participer à Holi, la fête des couleurs en IndeFaire de la méditation en Asie DONE !Assister à un match des All Blacks DONE !Naviguer sur le Delta de l’OkanvangoAssister un ballet à l’Opéra de Paris DONE !Faire les vendangesFaire une croisière sur le NilMes endroits à voir avant de mourirL’AntarctiqueLe Glacier Perito Moreno, Argentine DONE !Ushuaïa, Argentine DONE !Les chutes du Niagara, Canada DONE !Les chutes d’Iguazu, Brésil/Argentine DONE !Les chutes Victoria,L’Opéra de Sydney, Australie DONE !Le Salar d’Uyuni, Bolivie DONE !Le Machu Picchu, Pérou DONE !Les statues de l’Ile de Pâques, ChiliLa Grande Muraille de Chine DONE !Les Pyramides d’EgypteLe Grand Canyon, USA DONE !Le Golden Gate Bridge à San Francisco DONE !Le Taj Mahal, IndeNew-York, USA DONE !Le Colisée, Rome DONE !Pétra, Jordanie DONE !Le cap de Bonne Espérance, Afrique du Sud DONE !La Cité Interdite, Pékin DONE !La Baie d’Ha Long, VietnamLe désert du Namib DONE !Le parc national de Yosemite, USA DONE !Monument Valley, USAAntelope Canyon, USALe parc du Yellowstone, USALe volcan Bromo, Indonésie DONE !Uluru Ayers Rock, AustralieLes temples d’Angkor, Cambodge DONE !La Grande Muraille de Chine DONE !Les temples de Bagan, Birmanie DONE !L’Esplanade des mosquées, Jérusalem DONE !L’Alhambra de Grenade, Espagne DONE !Le Delta de l’OkanvangoL’Armée de Terre Cuite, X’ian, Chine DONE !Parc National du Seregenti, Tanzanie DONE !Le Kilimandjaro, Tanzanie DONE !Le pain de Sucre de Rio de Janeiro, Brésil DONE !La Grande Barrière de corail, AustralieLa place Rouge de Moscou, Russie DONE !Le Blue Lagoon, IslandeAPPRENTISSAGE / RÉALISATIONS PERSONNELLESPasser mon 1e dan de taekwondoProgresser en escaladeApprendre l’anglais DONE !Apprendre l’Italien DONE !Apprendre l’espagnol DONE !Apprendre à faire du scooter DONE !Apprendre la photographie Toujours en cours!Apprendre la guitareMe remettre au pianoApprendre le tangoApprendre le flamencoApprendre la salsaFaire de la danse contemporaineObtenir mon brevet de premiers secoursApprendre le russePasser mon niveau 1 de plongée DONE !Obtenir mon divemaster de plongéePasser le permis bateauApprendre à conduire une motoApprendre le yoga en IndeApprendre à masser en ThaïlandeMES PLUS GRANDS DÉFIS PERSONNELSFaire du théâtreToucher un serpentÉcrire un livreDevenir nomade digitaleMe faire tatouer en voyage DONE !Ouvrir un café/librairiePublier une photo dans un magazineFaire une exposition de mes photos de voyageÉcrire des articles pour la presseRéaliser un film documentaireDevenir professeure de yogaCourir le semi-marathon le marathon?! faut pas déconner quand même!TOP 10 DES PAYS QUE JE RÊVE ENCORE DE VISITERl’Albanie DONE !Le BotswanaL’ÉthiopieLe GuatemalaL’IslandeLe KirghizstanLe LesothoLe NicaraguaLe TadjikistanLe RwandaEt vous? Avez-vous déjà fait une bucket list? N’hésitez pas à me faire part de vos rêves en commentaire!Un peu d’inspirationEt si vous rêviez un peu? Je vous recommande chaudement ce livre de Lonely Planet qu’on m’avait offert… pour toujours plus d’inspiration! Mag Créatrice, rédactrice et photographe du blog MaGlobetrotteuse
Jétais déjà pleinement satisfait de ce Tour de France, on a fait un super travail d'équipe. Mais aujourd'hui j'ai gagné une étape du Tour de France, c'est un rêve d'enfant. Tout le
Forum Tour du monde 2 réponses Dernière activité le 24/08/2022 à 1425 consulter Formalités Tour du monde Signaler chipy Le 01 août 2022 BONJOUR A TOUSDANS UNE PETITE ANNEE, MON COPAIN ET MOI AVONS LE GRAND PROJET DE PARTIR DE FRANCE ARDECHE ET DE FAIRE LE TOUR DU MONDE, SOIT EN MOTO, SOIT EN 4X4NOTRE PREMIER ITINERAIRE SERAIT LA ROUTE DE LA QUESTIONS SONT DONC - QUE RECOMMANDERIEZ VOUS ? LA MOTO OU LE 4X4 ? - DE FRANCE QUELS SONT LES PAYS A TRAVERSER JUSQU'A LA DESTINATION FINALE ?- POUR L'ASSURANCE DU VEHICULE NOTRE MOTO OU NOTRE 4X4, FAUT IL A L'ENTREE DE CHAQUE PAYS EN PRENDRE UNE ?- POUR LE PASSAGE FRONTIERE ENTRE CHAQUE PAYS, LES VISAS S'IL Y EN A, PEUT ON LES FAIRE SUR PLACE AU POSTE FRONTIERE ,IL FAUT SAVOIR QUE DEPUIS DES ANNEES NOUS VOYAGEONS DANS LE MONDE LE MOIS DE NOS VACANCES, MAIS NOUS PRENONS L'AVION, FAISONS LES FORMALITES AVNT DE PARTIR ET LOUONS SUR PLACE UNE MOTO, DONC, LA SUR CE PROJET, TOUT EST DIFFERENT AU NIVEAU ORGANISATION, D'OU MON MSG POUR AVOIR REPONSE A NOS QUESTIONSMERCI A VOUS DE NOUS INFORMER SÉJOUR Maroc, vacances Jusqu'à -70% SÉJOUR Portugal, vacances Jusqu'à -70% SÉJOUR Baléares, vacances Jusqu'à -70%
. 216 95 738 438 151 220 134 269

je reve de faire le tour du monde